Anjouanais enchaînés : L'Unionisme et la Dépendance Psychologique...Azali, séparatiste ? Voilà une assertion que ces crédules unionistes anjouanais on
Anjouanais enchaînés : L'Unionisme et la Dépendance Psychologique...
Il est indéniable que le paysage politique et social des Comores est forgé par des dynamiques complexes et parfois troublantes. Au sein de cette palette de nuances, un groupe d'Anjouanais qui, malheureusement, se sont enlisés dans une mentalité unioniste étroite, les empêchant de voir au-delà du bout de leur nez. Leur allégeance inébranlable à L'IDEOLOGIE DE L'UNIONISME les a non seulement rendus vulnérables, mais les a également maintenus dans un état de dépendance psychologique envers les élites politiques de Ngazidja-Comore, la plupart d'entre elles étant teintées d'un ethnocentrisme suprématiste.
Dans cette poignée d'Anjouanais unionistes lobotomisés, une obsession unique règne en maître : celle de contrer le séparatisme. Chaque jour qui se lève, à travers leurs sorties en vidéo, ils entonnent leur hymne à l'Unionisme comorien, tout en lançant un appel désespéré à leurs pairs de Ngazidja-Comore. En parallèle, ils maudissent ceux qu'ils qualifient de "séparatistes", y compris le despote président de facto qu'ils osent affubler du terme paradoxal de "Azali séparatiste". Mais, faut-il s'étonner de leur perplexité ? Ont-ils seulement une compréhension claire du concept de séparatisme ?
Azali, séparatiste ? Voilà une assertion que ces crédules unionistes anjouanais ont gravée dans leur esprit. Mais Azali n'est en aucun cas un défenseur du séparatisme. Non, Azali est un suprématiste, un individu qui s'est arrogé le titre de "SUPERIEUR" aux Anjouanais et aux yeux des Anjouanais. Il est un suprémaciste ethnocentrique, dont les actions empreintes de haine et de mépris parlent d'elles-mêmes. Le boycott des projets d'infrastructure, la discrimination dans l'attribution des bourses, la spoliation des droits des Anjouanais au profit de sa propre clique insulaire, etc. tout ceci témoigne de sa véritable nature.
Il est temps d'expliquer le sens du séparatisme, cette notion qui semble échapper à cette poignée d'Unionistes anjouanais, qu'ils ne cessent de claironner à chacune de leurs sorties médiatiques. Il existe au moins deux formes de séparatisme. D'abord, il y a le séparatisme institutionnel, la souveraineté insulaire, le droit de décider pour soi, en d'autres termes, la Confédération. Ensuite, il y a le séparatisme intégral, l'indépendance totale...
Une question intrigante se pose : cette poignée d'Unionistes anjouanais est-elle atteinte de cécité et d'amnésie ? Ont-ils oublié qu'à Ngazidja-Comore, un proverbe populaire résonne : "mbé kayili mbé", signifiant que, que le Mgazidja soit unioniste ou séparatiste, tant que le centralisme outrancier de l'État comorien reste en faveur de leur île Ngazidja-Comore, leur animosité interne ne profitera jamais un seul jour à Anjouan.
Ces Anjouanais, obstinés, décérébrés, et moutonisés, suivent servilement les directives de ces élites politiques hégémoniques empreintes de haine. Ils prennent pour cible, avec des propos offensants et rabaissants, leurs propres concitoyens anjouanais, créant ainsi une division pernicieuse au sein de leur propre communauté.
Imaginez un instant que ces Anjouanais sont comme des oiseaux, mais des oiseaux qui ont perdu la capacité de voler. Ils se tiennent sur le sol aride de l'Unionisme, incapables de prendre leur envol vers la souveraineté et l'émancipation. Ils sont tellement enchaînés à cette idéologie qu'ils se sont transformés en de simples pions dans un jeu politique plus vaste, manipulés par ceux qui détiennent les ficelles du pouvoir à Ngazidja-Comore.
Ces Anjouanais, dans leur quête de protection et de faveurs de la part de l'Union, ressemblent à des mendiants qui tendent la main pour obtenir quelques miettes de considération et de soutien. Ils se prosternent devant leurs maîtres en espérant qu'ils les épargneront, ignorant que cette soumission les maintient dans un état perpétuel de subjugation.
L'ironie de la situation réside dans le fait que ces Anjouanais, tout en se plaignant du séparatisme, soutiennent en réalité l'idéologie centralisatrice qu'ils prétendent combattre. Ils sont tellement aveuglés par leur loyauté envers l'Union qu'ils ne se rendent pas compte que leur propre île, Anjouan, est également victime de cette centralisation excessive.
Il est temps que ces Anjouanais se libèrent de leurs chaînes mentales et prennent conscience que l'union ne doit pas signifier la soumission. Ils doivent se dresser avec fierté et détermination pour revendiquer leurs droits et leur identité propre, tout en travaillant pour une Union des Comores qui respecte la diversité et les aspirations de chaque île.
Dans cette époque de changements mondiaux, il est essentiel que chaque individu se questionne sur son rôle dans la société et sa capacité à contribuer positivement à son propre destin. Il est temps pour ces Anjouanais de briser les chaînes qui les entravent, de s'émanciper intellectuellement et de prendre leur envol vers un avenir où l'Union des Comores est véritablement synonyme d'unité, de respect mutuel et d'épanouissement pour toutes ses composantes.
Dans l'obscurité de l'ignorance et de la soumission, il y a toujours une lueur d'espoir, une possibilité de changement. Il est temps que ces Anjouanais la trouvent et embrassent le pouvoir de leur propre émancipation.
À bas l'Union maléfique des Comores !
Vive la quête infatigable de liberté et de dignité !
Vive un avenir où la justice et l'égalité régneront en maîtres !
Vive l'État souverain d'Anjouan !
Anli Yachourtu JAFFAR
02 septembre 2023
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