Macabre découverte pour des ouvriers du bâtiment appelés à intervenir dans ce bâtiment du CROUS. Ils ont découvert dans un des appartemen...
Macabre découverte pour des ouvriers du bâtiment appelés à intervenir dans ce bâtiment du CROUS. Ils ont découvert dans un des appartements de la résidence universitaire, le corps sans vie d'une étudiante de 26 ans, visiblement décédée depuis plusieurs jours. Une enquête a été ouverte.
Qu’est-il arrivé à cette femme de 26 ans, retrouvée morte ce jeudi après-midi à son domicile situé rue Richard, à Saint-Étienne ? Le parquet a ordonné l’ouverture d’une enquête pour déterminer les causes du décès.
Qu’est-il arrivé à cette femme de 26 ans, retrouvée morte ce jeudi après-midi à son domicile situé rue Richard, à Saint-Étienne ? Le parquet a ordonné l’ouverture d’une enquête pour déterminer les causes du décès.
L’autopsie, dont les résultats seront connus dans les prochains jours, révélera s’il s’agit d’une mort naturelle ou suspecte. Ce sont des ouvriers devant effectuer des travaux dans l’appartement qui ont découvert la défunte, allongée dans son lit. Ils ont immédiatement prévenu le SAMU, mais la jeune femme était déjà morte, ce que les sapeurs-pompiers ont constaté vers 15h30.
D’après le Procureur, David Charmatz, seule l’enquête permettra d’en savoir plus. La jeune victime de 26 ans était de nationalité française, originaire de Mayotte. Elle était inscrite en deuxième année de Licence en sciences humaines et sociales à l’université Jean Monnet et étudiait sur le campus de Tréfilerie à Saint-Etienne. Avec Le Progrès et France 3
D’après le Procureur, David Charmatz, seule l’enquête permettra d’en savoir plus. La jeune victime de 26 ans était de nationalité française, originaire de Mayotte. Elle était inscrite en deuxième année de Licence en sciences humaines et sociales à l’université Jean Monnet et étudiait sur le campus de Tréfilerie à Saint-Etienne. Avec Le Progrès et France 3
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