Communiqué Parti Blanc Le Parti Blanc apporte son soutien à son secrétaire général et à son président d’honneur à la suite des pseudo...
Communiqué Parti Blanc
Le Parti Blanc apporte son soutien à son secrétaire général et à son président d’honneur à la suite des pseudos « mesures d’apaisement » du chef de l’état.
Bien que nous nous réjouissions de la libération de certains prisonniers politiques dont nous étions sûrs qu’ils étaient victimes d’injustice, nous ne pouvons que constater encore une fois l’acharnement du pouvoir contre Maître Bahassani Ahmed et Le VP Djaffar Ahmed, respectivement Secrétaire Général et Président d'honneur du Parti Blanc, innocents des crimes pour lesquels ils ont été condamnés.
La « réduction » de la condamnation à vingt ans (20 ans), de prison de Bahassani et l’exclusion des « mesures d’apaisement » du VP Djaffar sont difficilement compréhensibles à la lumière des autres mesures de grâce accordées.
Pourquoi des civils, qui n’ont jamais pris les armes, restent-ils lourdement condamnés, quand des militaires ou des civils, qui, d’après la justice de notre pays, ont eux participé à des attentats armes à la main sont ils graciés ?
Comment expliquer ce « deux poids - deux mesures » et cet acharnement ?
Nous ne pouvons que rappeler l’iniquité du procès qui a condamné nos frères et renouveler notre confiance dans leur innocence et dans le fait qu’ils aient été condamnés injustement par une justice à la solde d’un régime à la dérive.
A quand de vraies mesures d’apaisement, pour revenir à un état de droit, dont chaque citoyen sera fier et où chacun sera protégé quelque soit ses opinions, son origine, son île, son métier, son statut social ou son appartenance politique...
La Direction Exécutive du Parti
COMMENTAIRES