Depuis les derniers événements du mardi 12 juillet dernier à Mutsamudu, la situation ne s'est pas trop calmée. D'une part le gouver...
Depuis les derniers événements du mardi 12 juillet dernier à Mutsamudu, la situation ne s'est pas trop calmée. D'une part le gouvernement se prépare à une poursuite contre ces personnes ayant agis méchamment jusqu' à s’introduire au palais de justice, saccagé l’intérieur et l’extérieur,, aller jusqu'à assassiné d'une façon barbare Brenda, le présumé assassin de Neima. Un engagement du gouvernement comorien à punir ces personnes dont une partie de ces derniers ont été identifiés sur les photos et vidéos diffusées dans les réseaux sociaux.
Des sanctions lourdes à l'encontre de ces bandits sont prévues et sur la page Facebook du Gouvernorat de Ndzuani on peut trouver en lecture le compte rendu du conseil des commissaires qui condamne les actes barbares et démesurés de la population et ouvrira une enquête pour élucider les faits et ainsi, sanctionner ceux qui sont allés au-delà des limites. A Domoni (Anjouan) où la famille à Neima vit toujours dans un cauchemar inattendu. Une autre affaire vient s'ajouter et fait rebondir encore la tristesse.
[right-post]
Ce 14 juillet à Domoni, Anlimou, le petit frère de la victime vient d'être arrêté par les forces de la gendarmerie. Quelques minutes plus tard toujours à Domoni, une grande foule assiège devant la brigade de gendarmerie refusant son transfert à Mutsamudu. La population a réagit de la sorte et Anlimou a été relâché. Remis en liberté, Anlimou a disparu depuis ce jour là. Il est accusé d'être parmi les commanditaires de l'assassinat de Brenda le présumé coupable et d'association de malfaiteur jusqu'à incendié le palais de justice d'Anjouan. La gendarmerie voulant éviter d'autres soulèvement de la population à vu nécessaire de le remettre en liberté avec la situation qui se présentait cet après midi du 14 juillet devant les locaux de la brigade de Domoni. Neima est assassiné, laissant derrière elle 5 enfants.
Ces événement horribles ont bouleversé toute une famille voir même une grande partie de la population. Un mouvement de panique règne au sein de la famille, certains n’arrivent plus à trouver le sommeil. Deux jeunes parmi les cinq enfant à Neima sont toujours hospitalisé suite aux événements liés à la mort de leur maman. Vient s'ajouter ensuite cette affaire de leur frère Anlimou recherché par les autorités. Des membres des gouvernements de l'Union et de l'île d'Anjouan en présence du Gouverneur Salami ont fait le déplacement à Domoni rendre hommage à la famille à Neima. Cette dernière a profité de montrer leur doléance auprès des autorités qu'elle a déjà perdu un membre cher dans la famille et ne souhaitait pas encore revivre des pleurs au seins de la famille. Déjà le frère est recherché pour être emprisonné et l'espoir de vivre tranquille n'y est plus.
Pour le moment, silence radio…… la famille attristée ne veut pas s’exprimer devant les médias, à la maison des pleurs quotidiens depuis l’annonce du communiqué du gouvernement visant à arrêter Anlimou. Un membre de la famille se demande, quel intérêt d’arrêter Anlimou alors que c'est une population qui s'est soulevée? L'emprisonner jusqu'à la mort et après? Quelle part de responsabilité dans cette détient le gouvernement? Qui va profiter des crimes?
Dhoul-karnayne Bahabou (Radio Domoni Inter)
Ces événement horribles ont bouleversé toute une famille voir même une grande partie de la population. Un mouvement de panique règne au sein de la famille, certains n’arrivent plus à trouver le sommeil. Deux jeunes parmi les cinq enfant à Neima sont toujours hospitalisé suite aux événements liés à la mort de leur maman. Vient s'ajouter ensuite cette affaire de leur frère Anlimou recherché par les autorités. Des membres des gouvernements de l'Union et de l'île d'Anjouan en présence du Gouverneur Salami ont fait le déplacement à Domoni rendre hommage à la famille à Neima. Cette dernière a profité de montrer leur doléance auprès des autorités qu'elle a déjà perdu un membre cher dans la famille et ne souhaitait pas encore revivre des pleurs au seins de la famille. Déjà le frère est recherché pour être emprisonné et l'espoir de vivre tranquille n'y est plus.
Pour le moment, silence radio…… la famille attristée ne veut pas s’exprimer devant les médias, à la maison des pleurs quotidiens depuis l’annonce du communiqué du gouvernement visant à arrêter Anlimou. Un membre de la famille se demande, quel intérêt d’arrêter Anlimou alors que c'est une population qui s'est soulevée? L'emprisonner jusqu'à la mort et après? Quelle part de responsabilité dans cette détient le gouvernement? Qui va profiter des crimes?
Dhoul-karnayne Bahabou (Radio Domoni Inter)