Au Comores, il y a habituellement ce que j'appelle : la Dictature des Vieux, qu'ils soient au pouvoir ou à l'opposition. Ici le ...
Au Comores, il y a habituellement ce que j'appelle : la Dictature des Vieux, qu'ils soient au pouvoir ou à l'opposition. Ici le mot vieux n'est pas seulement une question d'âge, mais surtout, dans l'incapacité à se défaire mentalement du rôle d'esclave que notre histoire commune avec la France nous a conféré. Il suffit de voir le comportement des politiciens Comorien devant la crise des jeux des Îles de l'océans Indien de 2015 et la trahison d'organiser les jeux en 2019.
Le politicien comorien dit haut et fort ce qu'il veut et ce qu'il ne veut pas. La France et tous les Îles de l'océan Indien décident de l'ignorer et de faire l'exact contraire. Et concernant notre île de Mayotte, nos politiciens crient à haute voix qu'ils veulent le retour de Mayotte dans l'Union des Comores alors qu'à coté ils disent encore que la France reste notre amis de longue date et qu'on partage une histoire commune. Et sans vergogne, ni gène, c'est tous comoriens à l'unanimité qui s'alignent sur les positions française en se désavouant elle-même.
Personnellement je voix aucune histoire qu'on partage en commun que l'humiliation et les infections d'accords que nous signons ensemble et qui nous amène rien de concret que l'installation de la pauvreté dans notre pays et qui ont pour effets le départ de tous les jeunes disant chercher leurs vies tout prêt du prédateur.
Le pire au Comores c'est que ce genre de comportement envahit soit les hommes au pouvoir que ceux de l'opposition.
Comment changer tout cela ?
Il faudrait au préalable et de façon prioritaire, conscientiser au maximum les jeunes comoriens, ceux-là qui ne sont pas encore inféodés dans les pratiques rentières du colonialisme. Ceux-là qui ne sont pas complexés par les Blancs comme leurs parents, ceux-là qui ne doivent pas à tout prix chercher à faire copain-copain avec les prédateurs de la "communauté internationale". Et la deuxième étape va consister à les faire descendre dans l'arène politique. Plus jeunes vous entrerez en politique et plus tôt nous pourrons réaliser le rêve d'un Comores débout et fière d'elle-même.
Au Comores, comme je l'ai dit plus haut, c'est la dictature des Vieux, vieux dans l'âge, vieux dans les idées, vieux dans la vision du monde d'aujourd'hui. On voit chez nous des vieux (avec tout le respect pour les vieux) qui n'ont de représentation du monde que le Patron Français et même lorsqu'ils sont Ministres, ils en sont à téléphoner à l'Ambassadeur Français tous les matins pour demander ce qu'il doit faire, histoire de montrer qu'il est un bon esclave très docile.
Par : Mohamed Soighir
CADRE MANAGER COACH EN DÉVELOPPEMENT COMMUNAUTAIREHabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Le politicien comorien dit haut et fort ce qu'il veut et ce qu'il ne veut pas. La France et tous les Îles de l'océan Indien décident de l'ignorer et de faire l'exact contraire. Et concernant notre île de Mayotte, nos politiciens crient à haute voix qu'ils veulent le retour de Mayotte dans l'Union des Comores alors qu'à coté ils disent encore que la France reste notre amis de longue date et qu'on partage une histoire commune. Et sans vergogne, ni gène, c'est tous comoriens à l'unanimité qui s'alignent sur les positions française en se désavouant elle-même.
Personnellement je voix aucune histoire qu'on partage en commun que l'humiliation et les infections d'accords que nous signons ensemble et qui nous amène rien de concret que l'installation de la pauvreté dans notre pays et qui ont pour effets le départ de tous les jeunes disant chercher leurs vies tout prêt du prédateur.
Le pire au Comores c'est que ce genre de comportement envahit soit les hommes au pouvoir que ceux de l'opposition.
Comment changer tout cela ?
Il faudrait au préalable et de façon prioritaire, conscientiser au maximum les jeunes comoriens, ceux-là qui ne sont pas encore inféodés dans les pratiques rentières du colonialisme. Ceux-là qui ne sont pas complexés par les Blancs comme leurs parents, ceux-là qui ne doivent pas à tout prix chercher à faire copain-copain avec les prédateurs de la "communauté internationale". Et la deuxième étape va consister à les faire descendre dans l'arène politique. Plus jeunes vous entrerez en politique et plus tôt nous pourrons réaliser le rêve d'un Comores débout et fière d'elle-même.
Au Comores, comme je l'ai dit plus haut, c'est la dictature des Vieux, vieux dans l'âge, vieux dans les idées, vieux dans la vision du monde d'aujourd'hui. On voit chez nous des vieux (avec tout le respect pour les vieux) qui n'ont de représentation du monde que le Patron Français et même lorsqu'ils sont Ministres, ils en sont à téléphoner à l'Ambassadeur Français tous les matins pour demander ce qu'il doit faire, histoire de montrer qu'il est un bon esclave très docile.
Par : Mohamed Soighir
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