Il faut un président qui donne une vision et se projette sur les cinq prochaines années. Qui sera, le 26 mai prochain, le nouveau président...
Il faut un président qui donne une vision et se projette sur les cinq prochaines années. Qui sera, le 26 mai prochain, le nouveau président de l’Union des Comores ? Alors qu’Azali Assoumani creuse sereinement l’écart avec les autres concurrents dans la course présidentielle, des fripouilles tentent de l’atteindre… difficilement.
Le candidat de la Convention pour le Renouveau des Comores (CRC) a jusqu’à présent prouvé qu’il était le meilleur candidat de cette campagne. Azali Assoumani devrait, au regard de son expérience, être le meilleur pour la fonction. Mais il a des handicaps. Le principal : il est en première ligne et la cible de ceux qui ont le pouvoir. Face aux « one man show » de ses adversaires, dans un pays où le spectacle est une donnée essentielle, il est entièrement l’opposé de la mauvaise blague qui opère.
Le leader de la CRC séduit un public engagé, jeune et enthousiaste. Azali Assoumani, avec son discours rationnel, a trouvé l’oreille du peuple. Il parvient, par son habileté et son ambition, à incarner le rêve du changement.
Réconcilier au lieu de diviser
Nous aimerions que cette période électorale ne soit pas que violence. Au contraire, on voudrait que les comoriens se retrouvent sur des valeurs qui les rapprochent au lieu de les diviser. Certains sont extrêmement insultants et méprisants. Ce sont des responsables politiques qui sont dans la posture, sans réel programme.
Azali Assoumani, de son côté, incarne l’alternative politique avec un un projet neuf et solide. Bien qu’il soit compétent, nous lui demandons d’apporter encore un regard nouveau et frais. Le soulèvement des « engagés » montre que l’Union des Comores a envie d’autre chose que d’une figure de la vieille classe politique. Nous avons besoin, dans la société d’aujourd’hui, de personnes qui nous donnent la vision de ce que nous pouvons être. Nous, les individus comme le pays tout entier, en se projetant sur les cinq prochaines années. Le projet présenté par Azali Assoumani trouve ce souffle pour incarner les aspirations des comoriens. Le monde est si compliqué, les crises géopolitiques sont si violentes, qu’on espère un leader qui sera à la hauteur de la fonction présidentielle, avisé et apaisé. Quand Azali Assoumani a été au pouvoir, il a beaucoup œuvré pour résoudre les conflits. Son retour tant attendu au Palais présidentiel de Beit-Salam, il aura sans doute la même habileté et la même volonté de toujours bien faire avec aisance.
Voter Azali. C’est porter beaucoup d’espoir sur celui qui est capable de nous sortir dans cette période noire. Sa politique intérieure comme sa politique internationale seront à la hauteur de toutes nos attentes.
HS. Parti CRC