À l'évidence, Sambi jouit d'une grande popularité qui fait même peur aux états-majors politiques du pays, et les pousserait par lâc...
À l'évidence, Sambi jouit d'une grande popularité qui fait même peur aux états-majors politiques du pays, et les pousserait par lâcheté comme le Ridja et le Cadim à le rejoindre.
Un tel soutien gonfle encore plus l'ego de Sambi, prêt à commettre les pires crimes contre les intérêts du pays, pour revenir au pouvoir et il a même osé déclamer qu'il était au-dessus de la Constitution et que la cour constitutionnelle ne pouvait l'empêcher de se présenter aux présidentielles.
À Anjouan, on se moque de cette popularité, en disant que c'est l’eau « Dzialandze » que le Satan Sambi fabrique et vend qui contient un sortilège, un charme, qui lui permet de contrôler les esprits de ceux qui en consomment.
Un beau parleur
On l’a toujours dit, une des raisons essentielles c’est que ce mytho-mégalo Sambi est un beau parleur, peut-être, un des plus grands rhétoriciens, que le pays ait jamais connus, capable d’endormir les plus sceptiques.
Plus est, il surfe sur de l’or en barre, la religion qui est le ciment des populations de l’archipel, du plus humble au plus aisé, prêt à tout entendre et à tout accepter, tant que les citations viennent de Dieu et de son prophète. La religion est son filon et ce Satan l’utilise à fond pour tromper tout le monde.
1-Un vendeur d’espoir
Mais ce mytho-mégalomane a compris quelque chose d’essentiel, dans la manipulation des foules, c’est que les gens ont besoin d’espoir pour vivre. On peut être pauvre, malheureux, chômeur, affamé, endetté, ne sachant que dire à ses enfants, à propos de la nourriture, des cahiers d’école, de leurs frais médicaux ; tout cela on peut l’accepter tant qu’on croit à des lendemains meilleurs, tant qu’on se dit que demain sera un autre jour, et que toute la misère sera oubliée. Et pour vendre de l’espoir, mytho-mégalo Sambi est champion toute catégorie.
Avant son arrivée au pouvoir, et pendant 5 ans, ce mytho-mégalo Sambi n’a cessé de promettre monts et merveilles, à un peuple pris à la gorge par des conditions de vie souvent insupportables. « Vous verrez des choses fantastiques, des choses que vous n’avez jamais encore vues, des lumières multicolores, des choses merveilleuses. »
L’exploit pour lequel on peut lui tirer le chapeau, c’est d’avoir pu même persuader des Anjouanais que Mohamed BACAR était le frein au développement d’Anjouan et qu’il suffisait de se débarrasser de lui pour qu'Anjouan retrouve tout son dû, « sa part de biens retenue à Moroni » pendant la révolution d’Anjouan. Et bien sûr, ce n’était que du vent comme toutes les promesses de ce Satan.
2- Un maître en corruption
Le bilan du mytho-mégalo Sambi se résume en promesses non tenues :
Le projet de développement des Comores de ce mytho-mégalo n’a été qu’une supercherie : le projet habitat censé lutter contre l’habitat précaire, la multiplication des petits ports pour faciliter les transports et booster les échanges, le développement touristique… tout cela n’a été qu’un immense leurre et un moyen d’enrichissement illicite pour le pouvoir. Comme l’a été la promesse d’une gouvernance propre, comme se targuait de l’être, le maître « waye arahara swafi » ; tout n’a été que magouilles et détournement que le maître a couvert lui-même, en disant qu’il avait été trompé.
Le pouvoir qui se voulait le plus juste a été un des plus corrompus que les Comores aient connus ; aucun coupable n’a été inquiété pour la bonne raison que l’exemple venait du sommet pour les énormes sommes touchées par le président et gérées dans la plus grande opacité. Car s’il y a un terme qui caractérise le pouvoir de ce mytho-mégalo Sambi, sur le plan financier, c’est bien opacité.
Cette opacité a couvert une corruption massive, sur la gestion du budget du pays et des multiples projets, mais aussi les aides diverses venues de l'extérieur, et notamment des magnats du pétrole arabes.
Un jour, ce mytho-mégalobSambi a exhibé à la JAF de Mutsamudu, un vrai trésor d'Ali Baba, fait des cadeaux en or somptueux, qui lui ont été offerts, qui devait se retrouver dans les musées de l'état. Et ce filon qui ne constitue que la partie émergente de l'iceberg peut seulement nous faire imaginer l'importance du trésor colossal que ce Satan s'est approprié, dans ses pérégrinations dans le monde entier. Car toute la politique du Satan Sambi, se résumait à savoir mendier, à chercher de l'aide qu'il a ensuite détournée en grande partie. Il a peut être donné du poisson à manger aux Comoriens, mais leur a-t-il appris à pêcher ? A t-il mis à profit sa grande popularité, pour mobiliser le peuple au profit de quelque cause que ce soit, l'environnement ? la construction de routes, d'écoles ? Etc.
Et pour Anjouan, qu'a t-il laissé ?
C'est un être avide, qui ne pense qu'à lui. Voici deux exemples qui doivent nous déciller les yeux sur la vraie nature de Sambi,
La propriété « indienne » :
Un comorien d'origine indienne voulait vendre une grande propriété qu'il possédait en face du domicile de ce Satan; la population de Mutsamudu avait obtenu de Mohamed BACAR alors au pouvoir, qu'il rachète le domaine pour agrandir l'hôtel de ville et organiser les activités de la ville. Mais sitôt revenu à Anjouan, ce Satan a acheté le domaine pour son propre compte.
Le terrain de Dini-Hari.
Les déchets sont un problème crucial et vital à Mutsamudu. Une initiative était prise par des Mutsamudiens de la diaspora et du pays pour acheter un terrain situé à Dindri-Hari pour en faire le centre de traitement des déchets de la commune de Mutsamudu. Mais là aussi, sitôt qu'il a appris l'affaire, il a acheté le terrain pour se construire des palais... Ce mytho-mégalo Sambi a acheté des terrains à tour de bras à Anjouan et creusé des routes pour désenclaver ses propriétés. Mais ce Satan est un malin et comme il a payé les arriérés de salaire, pour apparaître comme un sauveur (alors que c'était son devoir de Chef d’État le plus sacré), il a signé deux réalisations en trompe l'oeil :
-L'escalier de Bandrakoa : un escalier qui domine la ville de Mutsamudu, et qui devient une promenade pour les Mutsamudiens pour gravir la colline.
-La toiture du stade de Missiri : le stade est le lieu central de Mutsamudu pour les activités sportives et culturelles de Mutsamudu et cette couverture était attendue de toute la jeunesse et la population de Mutsamudu.
<< A LIRE AUSSI : SAMBI ou la tournante du tarundu
Ce sont des réalisations qui marquent les esprits et qui donnent au mytho-mégalo Sambi une présence permanente dans la société. Et les gens ne vont pas se demander la provenance de ces fonds, cette fondation Fatma, dont personne ne sait rien.
En résumé, mytho-mégalo Sambi est un populiste qui n'a jamais mis à profit sa popularité, pour mobiliser les énergies créatrices du pays, pour le développement, mais qui s'est appuyé presque exclusivement sur l'aide extérieure, d'ailleurs détournée en grande partie.
Sambi s'est enrichi, au-delà de toute croyance et pour qu'on puisse lui accorder la moindre crédibilité politique et morale, il doit nous persuader de son honnêteté pour tous les biens acquis, après son arrivée au pouvoir, L’homme propre, sans tâche, doit permettre un audit indépendant de sa fortune, s'il est vraiment ce qu'il prétend être. Le pays risque d'être confronté à une des crises de déstabilisation la plus grave de son histoire, avec l'avidité de pouvoir qui habite ce mytho-mégalomane.
Un tel soutien gonfle encore plus l'ego de Sambi, prêt à commettre les pires crimes contre les intérêts du pays, pour revenir au pouvoir et il a même osé déclamer qu'il était au-dessus de la Constitution et que la cour constitutionnelle ne pouvait l'empêcher de se présenter aux présidentielles.
À Anjouan, on se moque de cette popularité, en disant que c'est l’eau « Dzialandze » que le Satan Sambi fabrique et vend qui contient un sortilège, un charme, qui lui permet de contrôler les esprits de ceux qui en consomment.
Un beau parleur
On l’a toujours dit, une des raisons essentielles c’est que ce mytho-mégalo Sambi est un beau parleur, peut-être, un des plus grands rhétoriciens, que le pays ait jamais connus, capable d’endormir les plus sceptiques.
Plus est, il surfe sur de l’or en barre, la religion qui est le ciment des populations de l’archipel, du plus humble au plus aisé, prêt à tout entendre et à tout accepter, tant que les citations viennent de Dieu et de son prophète. La religion est son filon et ce Satan l’utilise à fond pour tromper tout le monde.
1-Un vendeur d’espoir
Mais ce mytho-mégalomane a compris quelque chose d’essentiel, dans la manipulation des foules, c’est que les gens ont besoin d’espoir pour vivre. On peut être pauvre, malheureux, chômeur, affamé, endetté, ne sachant que dire à ses enfants, à propos de la nourriture, des cahiers d’école, de leurs frais médicaux ; tout cela on peut l’accepter tant qu’on croit à des lendemains meilleurs, tant qu’on se dit que demain sera un autre jour, et que toute la misère sera oubliée. Et pour vendre de l’espoir, mytho-mégalo Sambi est champion toute catégorie.
Avant son arrivée au pouvoir, et pendant 5 ans, ce mytho-mégalo Sambi n’a cessé de promettre monts et merveilles, à un peuple pris à la gorge par des conditions de vie souvent insupportables. « Vous verrez des choses fantastiques, des choses que vous n’avez jamais encore vues, des lumières multicolores, des choses merveilleuses. »
L’exploit pour lequel on peut lui tirer le chapeau, c’est d’avoir pu même persuader des Anjouanais que Mohamed BACAR était le frein au développement d’Anjouan et qu’il suffisait de se débarrasser de lui pour qu'Anjouan retrouve tout son dû, « sa part de biens retenue à Moroni » pendant la révolution d’Anjouan. Et bien sûr, ce n’était que du vent comme toutes les promesses de ce Satan.
2- Un maître en corruption
Le bilan du mytho-mégalo Sambi se résume en promesses non tenues :
Le projet de développement des Comores de ce mytho-mégalo n’a été qu’une supercherie : le projet habitat censé lutter contre l’habitat précaire, la multiplication des petits ports pour faciliter les transports et booster les échanges, le développement touristique… tout cela n’a été qu’un immense leurre et un moyen d’enrichissement illicite pour le pouvoir. Comme l’a été la promesse d’une gouvernance propre, comme se targuait de l’être, le maître « waye arahara swafi » ; tout n’a été que magouilles et détournement que le maître a couvert lui-même, en disant qu’il avait été trompé.
Le pouvoir qui se voulait le plus juste a été un des plus corrompus que les Comores aient connus ; aucun coupable n’a été inquiété pour la bonne raison que l’exemple venait du sommet pour les énormes sommes touchées par le président et gérées dans la plus grande opacité. Car s’il y a un terme qui caractérise le pouvoir de ce mytho-mégalo Sambi, sur le plan financier, c’est bien opacité.
Cette opacité a couvert une corruption massive, sur la gestion du budget du pays et des multiples projets, mais aussi les aides diverses venues de l'extérieur, et notamment des magnats du pétrole arabes.
Un jour, ce mytho-mégalobSambi a exhibé à la JAF de Mutsamudu, un vrai trésor d'Ali Baba, fait des cadeaux en or somptueux, qui lui ont été offerts, qui devait se retrouver dans les musées de l'état. Et ce filon qui ne constitue que la partie émergente de l'iceberg peut seulement nous faire imaginer l'importance du trésor colossal que ce Satan s'est approprié, dans ses pérégrinations dans le monde entier. Car toute la politique du Satan Sambi, se résumait à savoir mendier, à chercher de l'aide qu'il a ensuite détournée en grande partie. Il a peut être donné du poisson à manger aux Comoriens, mais leur a-t-il appris à pêcher ? A t-il mis à profit sa grande popularité, pour mobiliser le peuple au profit de quelque cause que ce soit, l'environnement ? la construction de routes, d'écoles ? Etc.
Et pour Anjouan, qu'a t-il laissé ?
C'est un être avide, qui ne pense qu'à lui. Voici deux exemples qui doivent nous déciller les yeux sur la vraie nature de Sambi,
La propriété « indienne » :
Un comorien d'origine indienne voulait vendre une grande propriété qu'il possédait en face du domicile de ce Satan; la population de Mutsamudu avait obtenu de Mohamed BACAR alors au pouvoir, qu'il rachète le domaine pour agrandir l'hôtel de ville et organiser les activités de la ville. Mais sitôt revenu à Anjouan, ce Satan a acheté le domaine pour son propre compte.
Le terrain de Dini-Hari.
Les déchets sont un problème crucial et vital à Mutsamudu. Une initiative était prise par des Mutsamudiens de la diaspora et du pays pour acheter un terrain situé à Dindri-Hari pour en faire le centre de traitement des déchets de la commune de Mutsamudu. Mais là aussi, sitôt qu'il a appris l'affaire, il a acheté le terrain pour se construire des palais... Ce mytho-mégalo Sambi a acheté des terrains à tour de bras à Anjouan et creusé des routes pour désenclaver ses propriétés. Mais ce Satan est un malin et comme il a payé les arriérés de salaire, pour apparaître comme un sauveur (alors que c'était son devoir de Chef d’État le plus sacré), il a signé deux réalisations en trompe l'oeil :
-L'escalier de Bandrakoa : un escalier qui domine la ville de Mutsamudu, et qui devient une promenade pour les Mutsamudiens pour gravir la colline.
-La toiture du stade de Missiri : le stade est le lieu central de Mutsamudu pour les activités sportives et culturelles de Mutsamudu et cette couverture était attendue de toute la jeunesse et la population de Mutsamudu.
<< A LIRE AUSSI : SAMBI ou la tournante du tarundu
Ce sont des réalisations qui marquent les esprits et qui donnent au mytho-mégalo Sambi une présence permanente dans la société. Et les gens ne vont pas se demander la provenance de ces fonds, cette fondation Fatma, dont personne ne sait rien.
En résumé, mytho-mégalo Sambi est un populiste qui n'a jamais mis à profit sa popularité, pour mobiliser les énergies créatrices du pays, pour le développement, mais qui s'est appuyé presque exclusivement sur l'aide extérieure, d'ailleurs détournée en grande partie.
Sambi s'est enrichi, au-delà de toute croyance et pour qu'on puisse lui accorder la moindre crédibilité politique et morale, il doit nous persuader de son honnêteté pour tous les biens acquis, après son arrivée au pouvoir, L’homme propre, sans tâche, doit permettre un audit indépendant de sa fortune, s'il est vraiment ce qu'il prétend être. Le pays risque d'être confronté à une des crises de déstabilisation la plus grave de son histoire, avec l'avidité de pouvoir qui habite ce mytho-mégalomane.
Non aux manœuvres anti-constitutionnelles de Sambi !
Respect inconditionnel de la Constitution issue des accords de Fomboni 2001 et de la Tournante !
Respect inconditionnel de la Constitution issue des accords de Fomboni 2001 et de la Tournante !
Anli Yachourtu JAFFAR