Le Rdc aurait retourné sa veste et rejoint l’Updc. L’impression que Juwa s’est fait rouler dans la farine est persistante. De la courte alli...
Le Rdc aurait retourné sa veste et rejoint l’Updc. L’impression que Juwa s’est fait rouler dans la farine est persistante. De la courte alliance avec le parti de Sambi, la formation de Mouigni Baraka a aujourd’hui 4 députés. Mouigni Baraka est-il machiavélique ou la fermeture des vannes l’a-t-il poussé à ce rocambolesque rétropédalage ?
Si tout ce qui arrive aujourd’hui a été minutieusement planifié par les leaders du Rdc, ils seraient donc les dignes héritiers de Machiavel. « Le rapprochement » entre Juwa et Rdc, a volé en éclat. De la courte alliance, entre le parti de Mouigni Baraka et celui de Sambi, le Rdc en est sorti renforcé. De deux députés élus, double son compte.
4 députés, ce n’est pas mal comme butin. Le parti Juwa, obsédé par son désir d’obtenir la majorité à l’assemblée s’est fait avoir comme un bleu. Et n’a pas jugé de bon de formaliser de quelque manière que ce soit « cette alliance ». Et avec le ralliement du Rdc à l’Updc, il est clair aujourd’hui que même si par miracle, la Cour constitutionnelle invalidait l’élection du président de l’assemblée, le Juwa a autant de chances de remporter le perchoir que celles d’avoir le Saint graal. Ou « l’opportunité politique » si chère à l’autre…
Si tout ce qui arrive aujourd’hui a été minutieusement planifié par les leaders du Rdc, ils seraient donc les dignes héritiers de Machiavel. « Le rapprochement » entre Juwa et Rdc, a volé en éclat. De la courte alliance, entre le parti de Mouigni Baraka et celui de Sambi, le Rdc en est sorti renforcé. De deux députés élus, double son compte.
4 députés, ce n’est pas mal comme butin. Le parti Juwa, obsédé par son désir d’obtenir la majorité à l’assemblée s’est fait avoir comme un bleu. Et n’a pas jugé de bon de formaliser de quelque manière que ce soit « cette alliance ». Et avec le ralliement du Rdc à l’Updc, il est clair aujourd’hui que même si par miracle, la Cour constitutionnelle invalidait l’élection du président de l’assemblée, le Juwa a autant de chances de remporter le perchoir que celles d’avoir le Saint graal. Ou « l’opportunité politique » si chère à l’autre…
Mais Mouigni Baraka n’étant pas Machiavel, certains observateurs pensent sincèrement qu’il voulait « durablement » faire partie de l’opposition. Seulement, il croyait « naïvement » que le puissant argentier de l’Etat, Mohamed Ali Soilihi allait continuer à le maintenir sous perfusion financièrement… Réveil migraineux. La vignette automobile serait passée là.
D’où son rétropédalage. Sur ce coup là, Mamadou a eu le beurre, l’argent du beurre et le gouverneur, presque sans coup férir. Surtout que la majorité, l’Updc l’a obtenue, non pas grâce aux députés de Mouigni Baraka, si le ralliement se confirmait, mais plutôt grâce à « la défection » de Msaidie Soufiane, élu conseiller devenu député. Ce qui aurait réduit de façon considérable la côte du locataire de Mrodjou. Selon les dernières informations obtenues, des 4 députés du Rdc, il reste un irréductible qui se veut fidèle à Juwa, il s’agirait de Hassan Oumouri. Reste à savoir si le bureau du bureau du parti politique de la formation politique de Mouigni Baraka pardonnera « cette hérésie ».
D’où son rétropédalage. Sur ce coup là, Mamadou a eu le beurre, l’argent du beurre et le gouverneur, presque sans coup férir. Surtout que la majorité, l’Updc l’a obtenue, non pas grâce aux députés de Mouigni Baraka, si le ralliement se confirmait, mais plutôt grâce à « la défection » de Msaidie Soufiane, élu conseiller devenu député. Ce qui aurait réduit de façon considérable la côte du locataire de Mrodjou. Selon les dernières informations obtenues, des 4 députés du Rdc, il reste un irréductible qui se veut fidèle à Juwa, il s’agirait de Hassan Oumouri. Reste à savoir si le bureau du bureau du parti politique de la formation politique de Mouigni Baraka pardonnera « cette hérésie ».
FATIMA Karihila
COMORESplus
Photo. la rédaction
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