Suite à un problème de parking, un Vazaha a levé la main contre un agent de sécurité, hier à Analakely. Un « sakoroka » et une vindicte p...
Suite à un problème de parking, un Vazaha a levé la main contre un agent de sécurité, hier à Analakely. Un « sakoroka » et une vindicte populaire ont failli avoir lieu.
Trouver un parking à Analakely relève d'un parcours du combattant et demeure toujours un problème grave pour les usagers. Hier, dans la matinée, vers 9h, suite à ce même problème, un « Vazaha » arrogant arrive avec sa voiture et a failli être victime d'un lynchage. Selon les propos des gens sur place, ce ressortissant étranger venait avec sa Toyota V8, vitre fumée, et a voulu se garer dans un parking d'un grand magasin situé sur l'Avenue d'Analakely.
L'un des agents de sécurité sur place tenait à l'informer qu'il ne pouvait pas se garer là, s'il n'avait rien à faire dans le magasin. Ce « vazaha », avec ses airs hautains, sortait de son véhicule et commençait à hausser le ton à l'endroit du pauvre agent, allant jusqu'à porter ses mains sur l'individu. Un geste qui a suscité une réaction des gens présents sur place. Une étincelle qui a failli mettre le feu à la poudre. Des gens affluaient de tout bord, et en un clin d'œil, le « vazaha » ainsi que son véhicule ont été encerclés. Des huées en plein cœur voulaient un lynchage sur place par ces gens en colère.
Un acte de violence évité de justesse grâce à l'arrivée des forces de l'ordre. Ces policiers calmaient la foule et emmenaient avec eux le fauteur de trouble. On a appris, par ailleurs, que ce n'était pas la première fois que ce « vazaha » a montré un tel comportement. Mais cette fois-ci, les gens ne se laissaient pas intimider en ripostant. Un autre fait qui s'est passé, dans la nuit de vendredi dernier vers 23 heures, la voiture conduite par un étranger a percuté violemment un taxi au niveau du croisement entre la Maison de la Croix-Rouge et l'Hôtel Mellis en plein centre ville à Analakely. L'étranger n'a même daigné s'arrêter, continuant sa route, peut-être comptant sur une impunité comme un vulgaire chauffard fuyant sa responsabilité.
Malgré la frustration causée par le problème de parking, le recours à l'intimidation et à la violence ne pourraient pas être une solution. Au contraire, cela pourrait conduire à un autre problème grave comme celle qui venait de se passer hier.
Trouver un parking à Analakely relève d'un parcours du combattant et demeure toujours un problème grave pour les usagers. Hier, dans la matinée, vers 9h, suite à ce même problème, un « Vazaha » arrogant arrive avec sa voiture et a failli être victime d'un lynchage. Selon les propos des gens sur place, ce ressortissant étranger venait avec sa Toyota V8, vitre fumée, et a voulu se garer dans un parking d'un grand magasin situé sur l'Avenue d'Analakely.
L'un des agents de sécurité sur place tenait à l'informer qu'il ne pouvait pas se garer là, s'il n'avait rien à faire dans le magasin. Ce « vazaha », avec ses airs hautains, sortait de son véhicule et commençait à hausser le ton à l'endroit du pauvre agent, allant jusqu'à porter ses mains sur l'individu. Un geste qui a suscité une réaction des gens présents sur place. Une étincelle qui a failli mettre le feu à la poudre. Des gens affluaient de tout bord, et en un clin d'œil, le « vazaha » ainsi que son véhicule ont été encerclés. Des huées en plein cœur voulaient un lynchage sur place par ces gens en colère.
Un acte de violence évité de justesse grâce à l'arrivée des forces de l'ordre. Ces policiers calmaient la foule et emmenaient avec eux le fauteur de trouble. On a appris, par ailleurs, que ce n'était pas la première fois que ce « vazaha » a montré un tel comportement. Mais cette fois-ci, les gens ne se laissaient pas intimider en ripostant. Un autre fait qui s'est passé, dans la nuit de vendredi dernier vers 23 heures, la voiture conduite par un étranger a percuté violemment un taxi au niveau du croisement entre la Maison de la Croix-Rouge et l'Hôtel Mellis en plein centre ville à Analakely. L'étranger n'a même daigné s'arrêter, continuant sa route, peut-être comptant sur une impunité comme un vulgaire chauffard fuyant sa responsabilité.
Malgré la frustration causée par le problème de parking, le recours à l'intimidation et à la violence ne pourraient pas être une solution. Au contraire, cela pourrait conduire à un autre problème grave comme celle qui venait de se passer hier.
Écrit par MIDI
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