Au travail, à la maison, dans le métro, dans les lieux publics, et même en dormant, le racisme que vivent les Noirs dans le monde, est intol...
Au travail, à la maison, dans le métro, dans les lieux publics, et même en dormant, le racisme que vivent les Noirs dans le monde, est intolérable. Le racisme a pris racine partout, dans tous les milieux. Le Noir n’a pas la parole, le Noir est jalousé, haï, humilié, dévalué. On lui colle toute sorte de maux dans des durs et irrespectueux mots.
Dans un langage mielleux, le Blanc a toujours voulu prouver une certaine admiration du Noir, malheureusement, dans cette admiration, s’y retrouvent des graines de haines.
Le Noir n’a pas la parole même à l’ONU, car, il est toujours mal ; jugé, mal vu et subit d’innombrables contraintes négativement et savamment décidés par les autres.
Le Noir qui brille au travail devant des Blancs, récolte toujours de la jalousie du Blanc.
Le Noir parle et dit la vérité, mais tout ce que dit le Noir est mal interprété, en lui chargeant d’une dose de délation dans le but de le griller.
Lorsque le Noir est salué par un Blanc, dans son salut, il y’a toujours une centaine de questionnements sur le Noir.
Le Blanc qui suit le Noir pour une amitié, ne l’est souvent que pour l’intérêt à tirer.
Mais pourquoi cette haine raciste à l’égard du Noir ? Je suis en train de faire des recherches afin de comprendre ce qui fait que le Noir soit toujours victime de profilage.
Peut-on admettre que dans ce monde, il ne doit y exister que des Blancs ?
Au travail, en occident, dans n’ importe quelle structure, on ne largue des critiques que contre des Noirs,
Pourtant des Noirs ne constituent qu’une minorité visible ou personnes visiblement minoritaires.
Des émissions radio- des émissions-télé sont parfois sciemment organisées et présentées pour taper sur du Noir, c’est-à-dire critiquer du Noir en articulant sur ses odeurs, odeurs du Noir. Noir d’acajou. Noir de pêchés, Noir démoniaque, pourtant le Noir est le plus grand croyant !
Pourquoi trop de haine contre le Noir dans le monde ?
Aux États-Unis, au Canada, en France, en Belgique, en Angleterre, et partout dans le monde, le Noir est toujours la cible des regards méchants, intérieurs et extérieurs.
Le Noir travaille, mais son travail peut ou ne pas être reconnu et pas justement bien apprécié. Le Noir est jugé inférieur au Blanc, uniquement parce que Le Blanc affiche toujours un complexe de supériorité devant le Noir.
Pour le Blanc, le Noir ne doit pas être son égal, même en amitié, le Noir doit obligatoirement reconnaître la supériorité du Blanc. C’est ainsi qu’à Bamako, Ouagadougou, Kinshasa et Brazzaville, Libreville, Yaoundé et Bangui, N’Djamena, Abidjan et Lomé, le Blanc doit toujours être traité avec tous les égards de supériorité au Noir, c’est la règle, la loi divine enseignée au Noir.
Le Noir doit s’appliquer à une leçon divine et la respecter de manière scrupuleuse : être docile, serviable, et surtout subordonnée devant le Blanc, riche ou pauvre, instruit ou analphabète.
D’ailleurs, un Blanc analphabète, vaut 10 Noirs instruits. C’est ça le destin, c’est ça l’histoire des Noirs, tous les Noirs, l’histoire imposée par Des Blancs, des Blancs complexés.
Eh bien, fort de tous ces maux qui dérangent, j’exige une conférence mondiale des peuples
(CMPR), conférence mondiale des peuples sur le racisme qui aura pour mission de débattre à fond des problèmes liés au racisme des peuples contre d’autres peuples.
Cette conférence doit se préparer et se tenir dans un pays à choisir par nos dirigeants parce que le problème de racisme est très grave. Il faut qu’on en débatte.
Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme
Dans un langage mielleux, le Blanc a toujours voulu prouver une certaine admiration du Noir, malheureusement, dans cette admiration, s’y retrouvent des graines de haines.
Le Noir n’a pas la parole même à l’ONU, car, il est toujours mal ; jugé, mal vu et subit d’innombrables contraintes négativement et savamment décidés par les autres.
Le Noir qui brille au travail devant des Blancs, récolte toujours de la jalousie du Blanc.
Le Noir parle et dit la vérité, mais tout ce que dit le Noir est mal interprété, en lui chargeant d’une dose de délation dans le but de le griller.
Lorsque le Noir est salué par un Blanc, dans son salut, il y’a toujours une centaine de questionnements sur le Noir.
Le Blanc qui suit le Noir pour une amitié, ne l’est souvent que pour l’intérêt à tirer.
Mais pourquoi cette haine raciste à l’égard du Noir ? Je suis en train de faire des recherches afin de comprendre ce qui fait que le Noir soit toujours victime de profilage.
Peut-on admettre que dans ce monde, il ne doit y exister que des Blancs ?
Au travail, en occident, dans n’ importe quelle structure, on ne largue des critiques que contre des Noirs,
Pourtant des Noirs ne constituent qu’une minorité visible ou personnes visiblement minoritaires.
Des émissions radio- des émissions-télé sont parfois sciemment organisées et présentées pour taper sur du Noir, c’est-à-dire critiquer du Noir en articulant sur ses odeurs, odeurs du Noir. Noir d’acajou. Noir de pêchés, Noir démoniaque, pourtant le Noir est le plus grand croyant !
Pourquoi trop de haine contre le Noir dans le monde ?
Aux États-Unis, au Canada, en France, en Belgique, en Angleterre, et partout dans le monde, le Noir est toujours la cible des regards méchants, intérieurs et extérieurs.
Le Noir travaille, mais son travail peut ou ne pas être reconnu et pas justement bien apprécié. Le Noir est jugé inférieur au Blanc, uniquement parce que Le Blanc affiche toujours un complexe de supériorité devant le Noir.
Pour le Blanc, le Noir ne doit pas être son égal, même en amitié, le Noir doit obligatoirement reconnaître la supériorité du Blanc. C’est ainsi qu’à Bamako, Ouagadougou, Kinshasa et Brazzaville, Libreville, Yaoundé et Bangui, N’Djamena, Abidjan et Lomé, le Blanc doit toujours être traité avec tous les égards de supériorité au Noir, c’est la règle, la loi divine enseignée au Noir.
Le Noir doit s’appliquer à une leçon divine et la respecter de manière scrupuleuse : être docile, serviable, et surtout subordonnée devant le Blanc, riche ou pauvre, instruit ou analphabète.
D’ailleurs, un Blanc analphabète, vaut 10 Noirs instruits. C’est ça le destin, c’est ça l’histoire des Noirs, tous les Noirs, l’histoire imposée par Des Blancs, des Blancs complexés.
Eh bien, fort de tous ces maux qui dérangent, j’exige une conférence mondiale des peuples
(CMPR), conférence mondiale des peuples sur le racisme qui aura pour mission de débattre à fond des problèmes liés au racisme des peuples contre d’autres peuples.
Cette conférence doit se préparer et se tenir dans un pays à choisir par nos dirigeants parce que le problème de racisme est très grave. Il faut qu’on en débatte.
Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme