Ce n’est pas une guerre de média, je suis certain. Mais un grand étonnement d’avoir découvert une grande incohérence dans un article i...
Ce n’est pas une guerre de média, je suis certain. Mais un grand étonnement
d’avoir découvert une grande incohérence dans un article intitulé « Affaire de mœurs : Au fil… d’un viol et de séquestration présumés sur mineur à
Hahaya » du blog « Mbadakome ». Comme elles sont nombreuses
les personnes éprises de justice, nous aimerions bien que celles-ci
accomplissent leur tache d’une façon noble.
Et si nous arrêtons de banaliser cette situation qui a une allure très grave ? Cette affaire, est connue depuis trois semaines. Mais elle n’a pas eu d’échos sur les medias locales, et même l’opinion publique en parle peu. Seulement quelques soucieux… de la fille ont fait connaitre la situation et l’ont prise en main. Sans cela, aucune vérité ne serait pas connue.
Et si nous arrêtons de banaliser cette situation qui a une allure très grave ? Cette affaire, est connue depuis trois semaines. Mais elle n’a pas eu d’échos sur les medias locales, et même l’opinion publique en parle peu. Seulement quelques soucieux… de la fille ont fait connaitre la situation et l’ont prise en main. Sans cela, aucune vérité ne serait pas connue.
Sans l’intervention des réseaux sociaux, qu’on condamne dans l’article susmentionné, les comoriens, habitués de leurs sommeils profonds, ne seraient pas courant de cette affaire. Une occasion donc de saluer les efforts de nos frères et sœurs qui se mobilisent pour cette cause fardeau, car « Mwana tsi wam’dzima ». C’est aussi choquant de lire ce papier confondant l’affaire de Hahaya, avec celle de DSK et de Nafissatou.
N’est-ce pas une substance de déstabilisation et de diversion de l’affaire ? C’est perfide quand même. Il faut du sérieux. Ici, pas au nom des blogs, mais au nom de l’humain, père de famille et dont une fille est de natif. Heureusement sur une chose, on est d’accord tous. « Aucun homme ne peut tolérer le viol d'aucune personne surtout lorsqu'il s'agit de viol et séquestration d'une mineur de 13 ans ». Ici je rajoute même s’elle a 16 ans, même s’elle dispose de deux extraits d’acte de naissance. Une chose est sûre, ce n’est pas le papier qui souffre, c’est la chaire de 13 ou 16 ans. Donc 16 ans, 20 ans, 100 ans, le viol est un crime punissable.
« Qui a le monopole de la vérité dans cette affaire ? »
Comme dans l’article de « Mbadakome » on a parlé de justice, je crois que comme les accusés d’informations erronées et hâtives, ces accusateurs n’ont pas marqué de différence. Ils ont anticipé et devancé la justice. Moyen, de dépister ou de dissuader ? On n’en sait rien. Dans l’article susdit : « Et pour qu'il y ait réparation, nous devons rester mobiliser pour pousser ces magistrats et ses avocats corrompus à dire le droit et à respecter le peuple en ayant un autre regard sur cette justice dont ils sont censés représenter ». Encore une fois, je suis bien d’accord avec l’auteur. Mais se rend-il compte des gaucheries qui truffent ce papier ?
« Il ne suffit pas d'être chez soi, devant son ordinateur pour s'autoriser tous les droits de dire ce qu'on veut », Charité bien ordonné commence par soi-même, nous avions appris cela depuis les bancs du primaire. Les informations qui sont relayées par ceux qui se trouvent devant l’ordinateur, viennent des concernés, qu’on sache. Mais comme nous ne sommes pas non plus de juristes, nous nous abstenons de tout jugement et de toute sentence sur cette affaire qui est plus que sensible. Au Contraire, notre confrères « Mbadakome », a rendu le verdict. « Le viol n’a pas eu lieu, ce n’est pas trois jours dans la piaule, la fille n’a pas 13 ans, c’est une vengeance, le gendarme a conseillé Nadjim d’avoué le fait contre sa libération… », Sommes-nous dans quel Etat aux Comores ? Et la justice dans cette affaire ?
« Il ne suffit pas d'être chez soi, devant son ordinateur pour s'autoriser tous les droits de dire ce qu'on veut », Charité bien ordonné commence par soi-même, nous avions appris cela depuis les bancs du primaire. Les informations qui sont relayées par ceux qui se trouvent devant l’ordinateur, viennent des concernés, qu’on sache. Mais comme nous ne sommes pas non plus de juristes, nous nous abstenons de tout jugement et de toute sentence sur cette affaire qui est plus que sensible. Au Contraire, notre confrères « Mbadakome », a rendu le verdict. « Le viol n’a pas eu lieu, ce n’est pas trois jours dans la piaule, la fille n’a pas 13 ans, c’est une vengeance, le gendarme a conseillé Nadjim d’avoué le fait contre sa libération… », Sommes-nous dans quel Etat aux Comores ? Et la justice dans cette affaire ?
« Y a-t-il droit de sortir avec une mineure ? »
Ici, on ne prend pas défense de qui que ce soit, pour quoi que ce soit. Seulement défendre les droits de l’enfant, qu’il soit la fille de 13 ans ou 16 ans, peu importe, qui aurait été violée ou d’autres… donc, une tache qui doit impliquer tout le monde. Oui, on aimerait très bien que la fille ne soit pas violée. Mais, pourquoi ce paradoxe dedans ? « La fille sortait avec l’auteur présumé depuis longtemps, la fille dispose de deux extraits d’acte de naissance selon l’avocat… » Mais quel code de justice, nous append-on ici ? Qu’est-ce qui n’est pas punissable ? La minorité ou les deux extraits d’acte de naissance de différentes dates de naissance ?
« Il sort avec elle depuis longtemps. » Supposons que la fille a 16 ans, mais depuis longtemps c’est combien d’années ? Elle avait quel âge la fille ? Elle sort avec elle, l’auteur présumé, et pour ses cours de soutien, il lui enseigne le « babu », ou le « risalat » dans une piaule ? Un peu d’honnêteté s’il vous plait. Que nos avocats soient cohérents dans leurs services. J’aurais aimé que la prudence soit de mise dans le papier de notre confrère, comme il nous l’a rappelé nous tous dans ses lignes dans lesquelles on voit le cerveau. Passons.
Donc, jusque là, le fait d’avoir une relation avec une mineur est bien acquis ou non ? Mais en réalité quel extrait d’acte de naissance Nadjim a préféré pour légitimer le fait de sortir avec la fille ? « C'est troublant et curieux de voir une belle mère de la fille d'origine mahoraise qui vit à Marseille et qui de surcroit n'a jamais mis les pieds à Hahaya pour connaitre la fille, faire un témoignage dans les médias ». C’est simple pour comprendre cela, est qu’aussi, il y a ceux qui sont aux Comores, bien même dans nos villages qui ignorent ceux qui se passent devant leurs propres yeux.
Bravo, nos frères et sœurs et sur Moroni et sur les réseaux sociaux qui luttent contre ce fléau. Nous sommes optimistes que cela va changer et que notre pays, perdra l’image du Sud qu’il adopte depuis un interminable temps. « Mwana ka nguo uni vule, uke misi uhe nami bwedjuu ». « He waka ndo wana, wadjo nturukiza ba mali madjaya… ».
« Il sort avec elle depuis longtemps. » Supposons que la fille a 16 ans, mais depuis longtemps c’est combien d’années ? Elle avait quel âge la fille ? Elle sort avec elle, l’auteur présumé, et pour ses cours de soutien, il lui enseigne le « babu », ou le « risalat » dans une piaule ? Un peu d’honnêteté s’il vous plait. Que nos avocats soient cohérents dans leurs services. J’aurais aimé que la prudence soit de mise dans le papier de notre confrère, comme il nous l’a rappelé nous tous dans ses lignes dans lesquelles on voit le cerveau. Passons.
« Des preuves ? »
Certes en matière des preuves, il y en a deux sortes. Celles que tu touches et les paroles venant des proches, autrement dit des concernés d’une affaire. Ce faisant, certains articles traités par nos organes ont été traités avec soin, surtout avec prudence. Surtout que ceux qui tiennent la plume ne connaissent ni les accusé ni les accusateurs. Donc la neutralité est de mise, d’une part. J’en doute fort. « Au fait, il parait que la fille a déclaré devant le juge qu'elle avait deux copains, elle venait voir Nadjim à chaque fois qu'elle avait besoin d'argent. Mais ce qui est renversant, l'avocat de Nadjim a réussi à démontrer que la fille avait deux extraits de naissance, l'un de 13 ans et l'autre de 16 ans ».Donc, jusque là, le fait d’avoir une relation avec une mineur est bien acquis ou non ? Mais en réalité quel extrait d’acte de naissance Nadjim a préféré pour légitimer le fait de sortir avec la fille ? « C'est troublant et curieux de voir une belle mère de la fille d'origine mahoraise qui vit à Marseille et qui de surcroit n'a jamais mis les pieds à Hahaya pour connaitre la fille, faire un témoignage dans les médias ». C’est simple pour comprendre cela, est qu’aussi, il y a ceux qui sont aux Comores, bien même dans nos villages qui ignorent ceux qui se passent devant leurs propres yeux.
Bravo, nos frères et sœurs et sur Moroni et sur les réseaux sociaux qui luttent contre ce fléau. Nous sommes optimistes que cela va changer et que notre pays, perdra l’image du Sud qu’il adopte depuis un interminable temps. « Mwana ka nguo uni vule, uke misi uhe nami bwedjuu ». « He waka ndo wana, wadjo nturukiza ba mali madjaya… ».
SAID YASSINE Said Ahmed
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