Pas de trêve politique pendant les fêtes à Madagascar. A bientôt cinq mois de la date prévue pour le premier tour de l'élection présiden...
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Attaques, contre-attaques... Les partisans d'Andry Rajoelina sont bien décidés à se faire entendre en attendant de connaître les intentions de leur leader pour la présidentielle. « Quand le Premier ministre dit que parmi les "ni-ni" figure le nom du président de la SADC [Communauté de développement d'Afrique australe NDLR], ce n'est pas son rôle parce que l'article 15 de la feuille de route exige de tout responsable de la transition un comportement de neutralité. Et ça, ce n'est pas neutre ! », s'insurge Jean de Dieu Maharante, conseiller spécial du président.
Du côté de la mouvance de Marc Ravalomanana, cette agitation politique, ces affrontements reflètent l'inquiétude des lieutenants d'Andry Rajoelina. « C'est un signe de panique des subalternes du président de la transition, assure Guy Rivo Randrianarisoa porte-parole de l'ancien président. C'est une pression pour dire qu'ils existent encore, pour montrer leurs craintes parce que le président dans la transition a pris ses engagements et sa décision, et qu'ils essaient de le faire changer d'avis. »
Et si Andry Rajoelina décide de se présenter, les partisans de Marc Ravalomanana estiment que c'est toute la feuille de route pour la sortie de crise qui serait alors caduque.
Par RFIComoresOnline.net | أخبار من جزر القمر.
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