Alors qu'il devrait goûter à une retraite bien méritée, ce pauvre Jacques Chirac doit composer avec une Bernadette qui lui gâche la vi...
Alors qu'il devrait goûter à une retraite bien méritée, ce pauvre Jacques Chirac doit composer avec une Bernadette qui lui gâche la vie.
Comment ne pas oublier la charge virulente d'un intime des Chirac contre Bernadette dans le Canard Enchaîné ?L'homme y déclarait que « Bernie était une méchante. Une vraie méchante. » Au bout du rouleau, il avait lâché : « On n'en peut plus d'elle, on ne peut plus la voir, elle nous emmerde. » La famille Chirac avait réagi par un joli coup de com en s'offrant la une de Match à l'occasion des 80 ans de Jacques. Sur plusieurs pages l'image d'une famille soudée autour du patriarche sous le regard amoureux et complice de Bernadette. Le vernis n'aura pas tenu bien longtemps.
Sous couvert d'un portrait de l'ancien président de la république, le magazine M du Monde égratigne sérieusement Bernadette Chirac. Présentée tour à tour comme autoritaire voire despotique avec son entourage, Bernadette apparaît même cruelle dans ses rapports avec celui qu'elle appelle depuis cinquante-six ans « mon mari. » Plusieurs anecdotes dressent en creux le portrait d'une épouse omnipotente qui n'hésite pas, devant témoins, à rabaisser un homme que l'on sait affaibli.
Ainsi cette scène qui se déroule le 31 octobre dernier dans un hôtel de luxe au Maroc où le couple a ses habitudes. Ils dînent l'un en face de l'autre, lorsque tout à coup, Bernadette lâche « très fort » : « Elisabeth et Robert Badinter ont mieux à faire que de dîner avec vous… Vous n'êtes que le bruissement des ailes d'un insecte ». « Quoi ? » répond Chirac, interloqué. « Vous n'êtes que le bruissement des ailes d'un insecte », répète, implacable, Bernadette. Autour d'eux : Le directeur de France Inter, Audrey Pulvar, Marc-Olivier Fogiel…
Un mois plus tôt, elle avait déclaré, non sans fiel, sur les ondes d'Europe 1 en parlant de son mari « La vieillesse est un naufrage ». Une petite phrase d'une cruauté merveilleusement ciselée. Les disputes du couples sont fréquentes. A tel point que les Pinault, les seules amis chez qui Jacques prend encore du plaisir à dîner, « n'en peuvent plus », confie un proche. Bernadette n'hésite d'ailleurs pas à répéter autour d'elle que son mari « n'a plus de surmoi ! » « ll est dans la transgression permanente, confirme un familier du couple. Elle lui parle sans ménagement. Ce n'est pas de la violence physique, mais pas loin. » Triste et inquiétant. Voici.fr
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