En début de semaine, les Comores ont fêté le 37ème anniversaire de leur reconnaissance officielle comme nation indépendante au sein de l...
En début de semaine, les Comores ont fêté le 37ème anniversaire de leur reconnaissance officielle comme nation indépendante au sein de l'ONU. La résolution 3385 de l’ONU appelle la communauté internationale, à "respecter l’unité et l’intégrité territoriale de l’archipel des Comores, composé des îles d’Anjouan, de la Grande-Comore, de Mayotte et de Mohéli".
Pourtant, Mayotte est restée dans le giron de la France, après plusieurs référendums successifs dans les années 70.
Les Comoriens ne désespèrent pas de voir un jour "l'île comorienne de Mayotte", retrouver le chemin du retour au pays natal.
Au cœur de l'archipel, le "comité Maore" se bat pour que Mayotte fasse à nouveau partie intégrante des Comores.
"Nous devrons ramener la France au dialogue, mais à chaque fois que la question est soulevée, on ne va jamais au bout de cette initiative", affirme le président de ce comité.
Le responsable fustige également le Visa Balladur qui interdit la libre circulation entre Mayotte et le reste des Comores.
Le "comité Maore" n'est pas pour autant résigné et compte défendre sa position pour une réintégration de Mayotte aux Comores. "Nous devrons solliciter le concours de l’Union africaine, de la Ligue des Etats arabes et de l’ONU", préconise-t-il par la voix de son président.
Et si toutefois cela ne suffit pas, le comité Maore compte saisir la Cour de justice pénale internationale pour obtenir gain de cause.
www.indian-ocean-times.com/
Pourtant, Mayotte est restée dans le giron de la France, après plusieurs référendums successifs dans les années 70.
Les Comoriens ne désespèrent pas de voir un jour "l'île comorienne de Mayotte", retrouver le chemin du retour au pays natal.
Au cœur de l'archipel, le "comité Maore" se bat pour que Mayotte fasse à nouveau partie intégrante des Comores.
Saisine de la Cour de justice pénale internationale
"Nous devrons ramener la France au dialogue, mais à chaque fois que la question est soulevée, on ne va jamais au bout de cette initiative", affirme le président de ce comité.
Le responsable fustige également le Visa Balladur qui interdit la libre circulation entre Mayotte et le reste des Comores.
Le "comité Maore" n'est pas pour autant résigné et compte défendre sa position pour une réintégration de Mayotte aux Comores. "Nous devrons solliciter le concours de l’Union africaine, de la Ligue des Etats arabes et de l’ONU", préconise-t-il par la voix de son président.
Et si toutefois cela ne suffit pas, le comité Maore compte saisir la Cour de justice pénale internationale pour obtenir gain de cause.
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