"La vie misérable des étudiants au Maroc "
Le Maroc, un royaume du Maghreb Arab et de l’Afrique du Nord, accueille chaque année des nombreux étudiants et élèves (écoles supérieures) de plusieurs pays venant partout.
Les subsahariens africains sont les plus nombreux dus à la proximité du Maroc avec cette partie de l’Afrique. Les motifs qui encouragent les jeunes à venir poursuivre leurs études supérieures sont entre autre : le système d’enseignement marocain et le bon environnement d’étude.
Le système (le nouveaux système comme beaucoup des universitaires veulent l’appeler) Licence, Master et Doctorat(LMD) est bien intégré au Maroc.
Un Système qui répond aux normes d’enseignement mondial de qualité et s’adapte aux exigences des Entreprises et Industries, de même pour les recherches universitaire et en fin les Institutions international. D’autres par les enseignements professionnelle (BTS-DTS) sont de grand qualité ; toutes ces raison font que les établissements (public et privé) marocain sont parmi les meilleurs du continent africain.
Autrefois comme aujourd’hui, venaient et viennent encore de plus en plus nombreux pour étudier au Maroc. Obtenir un diplôme est un avantage pour le concerné et un gain pour le pays de provenance.
Les anciens lauréats Marocains trouvent en majorité de travail dans leurs pays de provenance et racontent le bon coté de leurs séjours au royaume du Maroc. A ajouter, ils encouragent aussi les élèves à faire leurs études supérieures au Royaume. L’étudiant enthousiasmé quitte son pays d’origine avec pleines et meilleures idées en destination du Royaume de Maroc. Mais les circonstances qui se présentent ne se passent pas comme prévu.
Les étudiants rencontrent de nombreuses difficultés : Parmi lesquelles, payement des frais de scolarité pour ceux qui font les écoles privées, payement de location d’appartement ; Payement des factures (connections internet, Eau et électricité et Gaz.). Frais de transport pour aller à l’Université pour ceux qui habitent loin de leurs Faculté.
En outre, une vie dont se passent des choses affreuses que les parents ne se rendent pas compte, et ignorent leurs existences ainsi que les problèmes qui viennent avec. Ils sont (ceux qui n’ont pas les moyens financiers) très souvent des situations pénibles, d’âpres beaucoup des témoignages, certains étudiants sont abandonnés par leurs propres familles en question, des jeunes victimes, terriblement impuissants qui cherchent la moindre estime et les soutiens des siennes.
Ces jeunes n’ont pas la moindre possibilité d’organiser leur vie ainsi que leurs projets estudiantines et sociales. Nombreux d’entre eux se trouvent, souvent, exposés à ce fléau.
Des frais de transport, le loyer, la nourriture, les fournitures scolaires et d’autres besoins vitaux reviennent très chers pour ces jeunes étudiants délaissés par leurs familles ; et comme ils ne bénéficient pas de bourse d’études, ni d’aucun geste d’aides financières de la part de leurs familles ni de leurs pays, ils se trouvent dans l’obligation de s’exposés à eux mêmes, ils n’ont pas d’autres recours que vendre leurs corps (pour les jeunes filles) en retour.
Certains d’entres eux se sentent désespérés, pensent à leurs sacrifices, de tels sortes que cela leurs provoquent des troubles morales, et psychologiques.
La nature les imposent à vivre avec des besoins proprement dites, dont ils ne sont pas en mesure de s’en procuré. Ils observent souvent certains étudiants, tels que leurs camarades de classe ou colocataires et veulent en retour vivre en paisible comme eux. Elles se trouvent dans l'obligation d’entrer en relation amoureuse avec des autres africains, Arabes ou des européennes pour qu’ils assument leurs dépenses ; leurs seul moyen pour parvenir à vivre et pouvoir continuer les études.
« Explique l’un deux parmi nos sources, «Le Maroc est un bon et beau pays a envoyé son fils ou sa fille pour étudier ; mais il faut avoir des moyens financiers consistants pour que l’enfant soit à l’aise. Être étudiant à l’étranger tel que le Royaume du Maroc, l’Enfant à en prime besoin des soutiens, d’un accompagnement psychologique, maximums des conseils issus de sa famille, et surtout un accompagnement financier pour passé les cas difficiles ».
Néanmoins Ils ne peuvent pas abolir une misère dont ils savent qu’ils ont perdu d'avance la bataille. Beaucoup de jugements s’installent dans les esprits de ces innocents personnes, sans issus ni de secours. Beaucoup d’entre eux se trouvent dans l’obligation d’abandonner leurs études et se trouvent perdus totalement. Avenir confus, passé nostalgique et présent enfer
Par DJAHIA MOHAMED (Photo ci dessus), comorienne et étudiante en Master 2 de Finance et Economie des Entreprises