L’avocat et homme politique a porté plainte pour « diffamation publique » et « atteinte à l’honneur » et demande en conséquence 70 000€ de...
L’avocat et homme politique a porté plainte pour « diffamation publique » et « atteinte à l’honneur » et demande en conséquence 70 000€ de dommages et intérêts. Ces plaintes font suite à un article paru sur internet intitulé « LARIFOU "L'art Fou" : l’homme à ne pas croire ! » et signé par un jeune comorien de la diaspora.
34 300 000. C’est la valeur en francs comoriens que le candidat malheureux à la présidentielles de 2016 demande à un jeune comorien résidant en France, à titre de dommages et intérêts. La cause ? Un article satirique écrit par ce jeune homme qui a l’habitude de dénoncer avec force les turpitudes des hommes politiques comoriens.
Dans la virulente satire où l’expatrié n’y va pas avec le dos de la cuillère, on peut lire, presqu’au début: « l’homme critique ne sait pas où il va ; il vogue à la dérive sur une mer elle-même critique », c’est ainsi qu’est dépeint l’homme politique par l’indigné qui n’a de cesse de remuer le couteau dans la plaie de cet avocat dont le cabinet à La Réunion est frappé depuis juin 2015 de liquidation judiciaire et d’interdiction d’exercice à cause d’un passif évalué à 2 millions d’euros, et ce après avoir été placé en redressement six mois auparavant, en décembre 2014.
« On peut aussi se demander qui est-il cet avocat qui, aux bénéfices des opposants de ses clients préfère abandonner ces derniers à mi-chemin parce qu'il reçoit plus de rançons de la part des adversaires, on peut citer entre autres le cas de "Samson et l'État malgache" », a-t-il encore tapé, et c’est là que le bât blesse. Pour panser ses blessures visiblement profondes, Said Larifou demande 70 000€ ‘‘à titre de dommages et intérêts en réparation des préjudices subits… ’’. « Il se passe du français, histoire de fuir sa nation et ses devoirs patriotiques, il est l’homme qui se dit politicien et pourtant jusque-là, il n’a jamais accepté les responsabilités politiques. Il s’est désigné comme l’homme légitime à être aux commandes de la nation sinon aucun service ne lui revient de devoir », enfonce davantage le jeune homme, sur le leader de Ridja qui a juré ne jamais travailler avec l’opposition s’il n’était pas élu pendant qu’il était encore candidat à la présidentielle parce qu’il en a « marre d’être opposant ».
Rappelons que comme tous les politiques du pays, de l’opposition comme du pouvoir, l’ancien leader de l’opposition qui vient de faire acte d’allégeance à Mamadou fait ces derniers temps l’objet de moqueries des internautes. Une attitude qui le gène au-delà de toute expression bien qu’il soit lui-même (du moins il l’a été) un adepte d’attaques verbales incisives. Il est fort probable qu’il ait d’autres cibles dans le collimateur, essentiellement des jeunes de la diaspora.
Ces patriotes qui n’ont de cesse que maintenir l’histoire en vie en ressassant les mêmes propos qu’il avait tenus avant qu’il ait conclu son mariage incestueux avec MAS Mamadou, sa brebis galeuse d’antan, pourraient subir le même sort que leur confrère actuellement dans ses griffes et dont la première audience aurait été prévue pour mi-septembre prochain, à Paris. On parle déjà que les adresses de « ses nouvelles cibles » sont en cours d’identification…afin de leur porter plainte et, pourquoi pas, demander à chacun d’eux 70 000€ de dommages et intérêts ! Par Toufé Maecha
Dans la virulente satire où l’expatrié n’y va pas avec le dos de la cuillère, on peut lire, presqu’au début: « l’homme critique ne sait pas où il va ; il vogue à la dérive sur une mer elle-même critique », c’est ainsi qu’est dépeint l’homme politique par l’indigné qui n’a de cesse de remuer le couteau dans la plaie de cet avocat dont le cabinet à La Réunion est frappé depuis juin 2015 de liquidation judiciaire et d’interdiction d’exercice à cause d’un passif évalué à 2 millions d’euros, et ce après avoir été placé en redressement six mois auparavant, en décembre 2014.
« On peut aussi se demander qui est-il cet avocat qui, aux bénéfices des opposants de ses clients préfère abandonner ces derniers à mi-chemin parce qu'il reçoit plus de rançons de la part des adversaires, on peut citer entre autres le cas de "Samson et l'État malgache" », a-t-il encore tapé, et c’est là que le bât blesse. Pour panser ses blessures visiblement profondes, Said Larifou demande 70 000€ ‘‘à titre de dommages et intérêts en réparation des préjudices subits… ’’. « Il se passe du français, histoire de fuir sa nation et ses devoirs patriotiques, il est l’homme qui se dit politicien et pourtant jusque-là, il n’a jamais accepté les responsabilités politiques. Il s’est désigné comme l’homme légitime à être aux commandes de la nation sinon aucun service ne lui revient de devoir », enfonce davantage le jeune homme, sur le leader de Ridja qui a juré ne jamais travailler avec l’opposition s’il n’était pas élu pendant qu’il était encore candidat à la présidentielle parce qu’il en a « marre d’être opposant ».
A LIRE AUSSI: Azali voulait corrompre Saïd Larifou à 20 millions...
Rappelons que comme tous les politiques du pays, de l’opposition comme du pouvoir, l’ancien leader de l’opposition qui vient de faire acte d’allégeance à Mamadou fait ces derniers temps l’objet de moqueries des internautes. Une attitude qui le gène au-delà de toute expression bien qu’il soit lui-même (du moins il l’a été) un adepte d’attaques verbales incisives. Il est fort probable qu’il ait d’autres cibles dans le collimateur, essentiellement des jeunes de la diaspora.
Ces patriotes qui n’ont de cesse que maintenir l’histoire en vie en ressassant les mêmes propos qu’il avait tenus avant qu’il ait conclu son mariage incestueux avec MAS Mamadou, sa brebis galeuse d’antan, pourraient subir le même sort que leur confrère actuellement dans ses griffes et dont la première audience aurait été prévue pour mi-septembre prochain, à Paris. On parle déjà que les adresses de « ses nouvelles cibles » sont en cours d’identification…afin de leur porter plainte et, pourquoi pas, demander à chacun d’eux 70 000€ de dommages et intérêts ! Par Toufé Maecha