De l’avis de tous les observateurs aussi bien nationaux qu’internationaux, Mohamed Ali Soilih est bien placé pour être le successeur du Pré...
De l’avis de tous les observateurs aussi bien nationaux qu’internationaux, Mohamed Ali Soilih est bien placé pour être le successeur du Président Ikililou Dhoinine, donc le prochain Président de l’Union des Comores.
Ceux qui lui prédisent le succès à cette course présidentielle, ont passé au peigne fin la vie politique de cet homme politique au parcours impressionnant.
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, une chose est sûre, Mohamed Ali Soilih fascine et tout le monde s’accorde à dire qu’il est le candidat qui possède une stature d’homme d’Etat.
Mais ce n’est pas tout !
Outre sa riche expérience dans la gestion des affaires de l’Etat, sa maîtrise incontestable, à la fois des arcanes de la finance et des grands enjeux macroéconomiques, lui vaut le respect et la confiance des partenaires au développement, faisant de lui un référent incontournable à leurs yeux quand il est question des Comores.
De ce constat, on peut dire sans risque de se tromper, que le candidat Mohamed Ali Soilih n’est pas un petit nouveau dans la cour des grands, aussi bien sur l’estrade comorienne que sur la scène internationale.
Quant aux yeux des électeurs, il apparaît comme le candidat le plus consensuel, du fait d’avoir réussi à rassembler plus d’une dizaine de formations politiques autour de sa candidature, et rejoint au deuxième tour par une personnalité de la stature du leader du parti Ridja, Maître Said Larifou, confortant davantage cette thèse.
Le candidat en vue pour l’élection présidentielle du 10 avril ne jouit pas uniquement d’une crédibilité pour occuper ces hautes fonctions, en plus de ses compétences et les soutiens de poids dont il dispose, il a aussi les idées pour sortir notre pays du marasme économique dans lequel il est plongé.
Lui, qui a forgé sa crédibilité dans les questions économiques et à un moment où l’enjeu économique est majeur dans cette élection, a aussi présenté son programme décliné en 20 engagements, pour redresser le pays.
Une fois élu président, Mohamed Ali Soilih, poursuivra ses réformes qu’il a déjà engagées au Ministère des finances pour maintenir une stabilité macroéconomique, notamment, l’informatisation de toute la chaîne des finances publiques (Budget, Trésor, Douanes, impôts), en vue d’endiguer les dérapages en matière de dépenses.
D’autre chantiers et non des moindres verront le jour, à savoir, l’ouverture de l’usine de pêche à Voidjou avec à la clé 1 000 emplois dans 12 mois, la construction et la mise en service de la centrale au fuel lourd avec 9 00 emplois et la relance du secteur touristique, notamment la reprise du chantier Galawa (chantier et hôtel) qui générerait 1 500 emploi et la mise en œuvre du Plan Urgence pour l’Emploi (PUREJ) avec comme objectif la création de 5 000 emplois dans le secteur dans l’agriculture, la pêche et le métier de l’environnement, pour ne citer que ceux-là.
Publié par RIDJA
