Refuser pour les jeunes comoriens d’aujourd’hui c'est aussi détourner le chemin sillonné depuis le coup d'état d'Azali en 1999 ...
Refuser pour les jeunes comoriens d’aujourd’hui c'est aussi détourner le chemin sillonné depuis le coup d'état d'Azali en 1999 jusqu'à Ikillou, et entreprendre une autre voie avec des nouveaux hommes et femmes, c’est le changement, c’est la 3ème voie, celle de la jeunesse.
La jeunesse comorienne doit à cet instant s'unir pour cela, et mettre fin à la gabegie et l'incompétence de ceux qui nous ont conduits jusqu'ici en volant les deniers publics pendant presque 20 ans.
La situation comorienne ne peut se résoudre tant que notre jeunesse ne s'implique à sa cause. Partout où la révolution ou le changement s'opèrent il a fallu un vœu conscient des jeunes qui n'acceptent pas que d'autres volent leurs dus et confisquent leur liberté par des artifices fabriqués par des sorciers dont la nouvelle génération de nos politiques gouvernants actuels en font partis.
Or depuis le 30 avril 1999, mieux depuis que la démocratie est ensanglantée par le coup d'état d'Azali rien n'y va dans ce pays. Personne ne peut dire autrement que ce militaire qui traînait dans l'armée par manque de conception n'a pas induit le devenir des Comores vers un chemin sans lendemain, un passage exigu, celui des incapables aveugles de visions, et a, ainsi par cet acte, trahi ce que peut être l'armée dans ce pays.
C'est dire qu'il est issu de cette génération gérante actuelle conduite à être édictée ce qu'elle doit faire, ainsi elle a succombé à entraîner ce pays dans l’abîme pourvu qu'elle soit Présidente.
En commençant par Azali qui n'avait aucun programme car il ne pensait pas devenir Président mais vivre en se traînant dans les couloirs présidentiels. On se souvient de ses discours qu'il disait qu'il n'a aucun système à suivre son seul moyen de parvenir est le pragmatisme, sans aucune base de système économique ni d’idéologie politique. Il a géré le quotidien des comoriens comme mon grand père quand il se lève le matin avec la famille qui se traîne derrière lui à la longueur de la journée et sans boussole. LIRE LA SUITE DE L'ARTICLE