Ces derniers jours, nos serveurs et nos comptes des réseaux sociaux ont été victimes d'une attaque informatique élaborée. Des hacke...
Ces derniers jours, nos serveurs et nos comptes des réseaux sociaux ont été victimes d'une attaque informatique élaborée.
Des hackeurs ont tenté de prendre le contrôle des comptes Twitter et facebook de habarizacomores.com et ont réussi à s'infiltrer dans notre outil de publication, avant de publier du contenu à caractère pornographique sur notre site et nos pages.
Les mécanismes de sécurité pour empêcher ses genres de publication ont fonctionné.
Habarizacomores va porter plainte.
On devrait toujours se méfier des amis facebook qu'on ne connait pas.
Il y'a quelques semaines, notre rédaction a publié un article concernant un faux compte facebook du nom de Sania Wadaane Abdallah (Lire l'article)
Cette personne qui nous a déjà envoyé des menaces sur facebook a crée un site internet avec comme couverture, nom et logo notre journal en ligne habarizacomores.com. (Voir captures d'écran ci dessous).
Ce site reprend tous les articles publiés sur habarizacomores.com et les modifie afin de désinformer les comoriens.
En vous rendant sur son site internet qui est http://comores-infos.com, vous vous rendez compte qu'aucune information du propriétaire du site existe.
Les compte Twitter et facebook ciblés
Cette pratique, qui consiste à inciter sa cible à renseigner son identifiant et son mot de passe en se faisant passer pour une personne de confiance, se nomme « hameçonnage » – ou « phishing », en anglais. Il suffit que l'une des victimes tombe dans ce piège, vieux comme Internet, et c'est une boîte au trésor qui s'ouvre pour les pirates.
Il semblerait cependant que les pirates n'aient pas trouvé, dans un premier temps, ce qu'ils cherchaient. Une information précise les intéressait : les mot de passe des comptes Twitter et facebook de habarizacomores.
Malheureusement pour les pirates, l'administrateur du journal habarizacomores.com s'est rapidement rendu compte de la tentative.
Nous vous présentons nos excuses pour la gêne occasionnée.