Un vent nouveau soufflerait-il dans les coulisses de la société comorienne ? Le dimanche 4 octobre 2015, j'ai participe a l'ass...
Un vent nouveau soufflerait-il dans les coulisses de la société comorienne ?
Le dimanche 4 octobre 2015, j'ai participe a l'assemblée générale de la meck moroni. Sans battre campagne ni aviser mes proches, mes amis et mes collègues, je me suis porte candidat au conseil d'administration de la Meck moroni pour mesurer et déterminer le vent de changement qui pourrait aider a sortir du clientelisme polico-economico-social qui engraine notre société et freine les bons choix sur les mauvais et les meilleurs sur les bons.
J'ai été ébloui et renverse de constater l'adhésion immédiate et sans réserve au discours enflamme que j'ai pu faire sur mon expérience de la microfinance en tant que fondateur des Meck, directeur général du réseau africain de microficance et directeur politique de l'alliance mondiale des banque centrale pour l'inclusion financière, promoteur deas umurenge saccos en Rwanda, ma capacité managériale a mener de front les chantiers de reforme proposes par les membres et ma détermination a faire aboutir avec les collègues ces changements et chantiers. Ma surprise fut des plus grandes de me voir immédiatement investi de l'espoir de conduire ces changements par des personnes qui ne me connaissaient, qui avait déjà leur affinité établi et leur candidat marque.
Les personnes concernées sont venues me chuchoter qu'elles m'ont voté sur la base du discours désintéressé que je leur ai tenu et de la confiance que mon parcours, mon expérience et ma capacité a réaliser lesdits chantiers et a aboutir les changements souhaites. D'autres m'ont fait comprendre qu'elles ont outrepasse leur proche, leur "enfant" et autre promotionnel pour me donner leur vote. A toutes ces personnes, je leur remercie de la confiance investie, même si ma candidature n'est pas au final passée. Vous m'avez ouvert les yeux et confirme mon sentiment que le vent du changement est très proche, que le comorien est aujourd'hui mature et responsable pour faire le bon choix sur les mauvais et les meilleurs sur les bons pour changer la donne dans notre pays même si votre choix a manque de quelques voix présentes pour passer.
La donne aurait été a coup sur été changée si je m'étais donne la peine de battre préalablement campagne, avertir mes amis, ma famille et mes proches pour en faire autant comme l'ont certainement fait mes compétiteurs. Ma candidature était au contraire visée à tester la capacité des comoriens a distiller au contraire le personnel du professionnel sans battre campagne. Aux politiciens, aux dirigeants du pays et aux aspirants dont moi même. Apprenez par cette histoire qu'un nouveau vent est en train souffler dans la société tôt ou tard non les proches, la famille, les amis ou les beaux parleurs mais bien ceux qui s'en montreront capables, convaincants et déterminés.
Par Abdoul Anziz Said Attoumane