ELECTIONS PRESIDENTIELLES DE 2016: Le parti RADHI entre dispersion, désaccord et division Un triple constat qui s'avère de plus en plus ...
ELECTIONS PRESIDENTIELLES DE 2016: Le parti RADHI entre dispersion, désaccord et division
Un triple constat qui s'avère de plus en plus évident est observé au sein du parti RADHI qui est devenue quasiment aphone. Le parti du Ministre de l'intérieur est désuni, en désaccord et risque de se diviser.
Un sacré opposition, un désaccord farouche n'est pas loin de diviser le parti RADHI. D'abord, certaines cadres du parti comme Abdou Soeuf n'admettent pas que Msaidié soit le vice-président de Mamadou. Selon ses proches, l'homme fort de Mbadjini aurait déclaré que « si Msaidié est prêt à être vice-président, il n'a qu'à retourner à sa maison mère, c'est-à-dire la CRC pour être le vice-président d'Azali ».
Selon nos sources, Abdou Souef qui pense être candidat au poste de gouverneur, veut que son parti présente un candidat titulaire aux élections présidentielles et non se rallier à un parti pour discuter le poste de vice-président.
Mais sous d'autres cieux, pendant que certains se disent favorable à la vice-présidence de Mamadou, d'autres membres comme Kamar Zamane et Mihidhoir Sagaf, ne prônent pas à la souplesse de Msaidié.
Un triple constat qui s'avère de plus en plus évident est observé au sein du parti RADHI qui est devenue quasiment aphone. Le parti du Ministre de l'intérieur est désuni, en désaccord et risque de se diviser.
Un sacré opposition, un désaccord farouche n'est pas loin de diviser le parti RADHI. D'abord, certaines cadres du parti comme Abdou Soeuf n'admettent pas que Msaidié soit le vice-président de Mamadou. Selon ses proches, l'homme fort de Mbadjini aurait déclaré que « si Msaidié est prêt à être vice-président, il n'a qu'à retourner à sa maison mère, c'est-à-dire la CRC pour être le vice-président d'Azali ».
Selon nos sources, Abdou Souef qui pense être candidat au poste de gouverneur, veut que son parti présente un candidat titulaire aux élections présidentielles et non se rallier à un parti pour discuter le poste de vice-président.
Mais sous d'autres cieux, pendant que certains se disent favorable à la vice-présidence de Mamadou, d'autres membres comme Kamar Zamane et Mihidhoir Sagaf, ne prônent pas à la souplesse de Msaidié.
Selon des sources concordantes, ces deux hommes s'opposent cruellement à ce qu'une autre personne soit prise dans le parti au détriment de Msaidié. « Msaidié n'est pas le seul leader du parti, donc, si le pouvoir a besoin du RADHI alors ça sera un autre personne que Msaidié », ont –ils expliqué. Mais le camp de Mamadou est bien clair sur cette question. Le pouvoir a besoin de Msaidié plus que le RADHI. « Donc, Msaidié peut-il y aller seul sans étiquète du parti », a-t-il montré notre source. La question reste là, Msaidié va-t-il divisé encore son parti ? Plus crurale qu'on le pense, l'énigme fera l'objet d'un congrée dans les prochains jours.
Cette entité politique, formée au lendemain de la division du CRC, semble se réduire à une voix, celle de Houmedi Msaidié. Le plus dramatique, c'est que ce rare parti qui anime la scène politique, l'est en rangs dispersés, de sorte qu'il n'y a aucun impact dans leurs actions. Pour couronner le tout, des dissensions et des divergences de vue s'invitent régulièrement dans leurs débats chaque fois qu'ils daignent une action concertée et commune.
D'abord, le parti a connu la première crise lors de la nomination de Msaidié au poste du ministre de l'intérieur. Certains cadres du parti n'étaient pas pour cette nomination. « On ne peut y avoir un député de Mboudé et un ministre de M'boudé au sein du même parti, il faut décentraliser les postes, en plus que Msaidié n'est pas le seul homme du parti », ont montré certains cadres du parti.
Par Nakidine Hassane
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Cette entité politique, formée au lendemain de la division du CRC, semble se réduire à une voix, celle de Houmedi Msaidié. Le plus dramatique, c'est que ce rare parti qui anime la scène politique, l'est en rangs dispersés, de sorte qu'il n'y a aucun impact dans leurs actions. Pour couronner le tout, des dissensions et des divergences de vue s'invitent régulièrement dans leurs débats chaque fois qu'ils daignent une action concertée et commune.
D'abord, le parti a connu la première crise lors de la nomination de Msaidié au poste du ministre de l'intérieur. Certains cadres du parti n'étaient pas pour cette nomination. « On ne peut y avoir un député de Mboudé et un ministre de M'boudé au sein du même parti, il faut décentraliser les postes, en plus que Msaidié n'est pas le seul homme du parti », ont montré certains cadres du parti.
Par Nakidine Hassane
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