Une triste histoire se répète à "Tchale-Tchale"* ! Le mardi 23 juin le jeune Bayzi Assoumani est décédé à Salimani Hambou. « Kalu...
Une triste histoire se répète à "Tchale-Tchale"* !
Le mardi 23 juin le jeune Bayzi Assoumani est décédé à Salimani Hambou. « Kalu ina lillah wa ina ilayh Radjiun ».
Jusque là rien d'extraordinaire pour Dieu, bien que trop affligent pour nous humains.
Le fait que les mêmes faits se sont produits d'une façon similaire il y a deux ans, pousse les humains que nous sommes à faire le rapprochement d'une série d'événements qui se renouvellent. Dieu fera que Bayzi Assoumani (Paix à son âme) qui a succombé en plein match de foot, Comme son frère Antoy Soulé, soit le dernier de la série noire du stade Mdjumbi de Salimani Hambou.
Après la prière du « L'ansr » du lundi 22 juin 2015 équivalent au 5ème jour du Ramadan, un « Hitma» de commémoration de la mort subite d'Antoy Soulé est fait. Il est parti il y a 2 ans dans les mêmes circonstances que Bayzi que nous venons d'enterrer ce 6ème jour du Ramadan 2015.
Antoy comme Bayzi sont du quartier « Daridju ». Ils sont de la même famille et donc coéquipiers de ce quartier dans le tournoi qu'organise chaque Ramadan, l'Alizé fort pour maintenir en forme ses joueurs pendant la période de trêve sportive.
C'est donc le 5ème et le 6ème jour de ramadan qu'ils sont tous les deux secoués par une crise cardiaque au cours d'un match au stade de Salimani hambou; l'un à 2013 et l'autre en 2015. Ils ont lancé le même cri de détresse quand la violence de la mort leur atteint et tombent au même endroit près de l'autre aile du stade opposée à celle contigu à la route qui mène au village.
Ils sont tous les deux approchés par terre par leur grand Frère le professeur Saïd Soulé, qui, le pauvre, pour Bayzi, il n'a pas pu se maîtriser, voyant la triste série se répéter. Il les amènera lui même à l'hôpital pour constater le décès de chacun d'eux.
En 2013 comme en cette année 2015, il y a la présence aux Comores d'Amir Soulé, leur frère à tous les deux,qui vit il y a quelques temps en France .
Le mardi 23 juin le jeune Bayzi Assoumani est décédé à Salimani Hambou. « Kalu ina lillah wa ina ilayh Radjiun ».
Jusque là rien d'extraordinaire pour Dieu, bien que trop affligent pour nous humains.
Le fait que les mêmes faits se sont produits d'une façon similaire il y a deux ans, pousse les humains que nous sommes à faire le rapprochement d'une série d'événements qui se renouvellent. Dieu fera que Bayzi Assoumani (Paix à son âme) qui a succombé en plein match de foot, Comme son frère Antoy Soulé, soit le dernier de la série noire du stade Mdjumbi de Salimani Hambou.
Après la prière du « L'ansr » du lundi 22 juin 2015 équivalent au 5ème jour du Ramadan, un « Hitma» de commémoration de la mort subite d'Antoy Soulé est fait. Il est parti il y a 2 ans dans les mêmes circonstances que Bayzi que nous venons d'enterrer ce 6ème jour du Ramadan 2015.
Antoy comme Bayzi sont du quartier « Daridju ». Ils sont de la même famille et donc coéquipiers de ce quartier dans le tournoi qu'organise chaque Ramadan, l'Alizé fort pour maintenir en forme ses joueurs pendant la période de trêve sportive.
C'est donc le 5ème et le 6ème jour de ramadan qu'ils sont tous les deux secoués par une crise cardiaque au cours d'un match au stade de Salimani hambou; l'un à 2013 et l'autre en 2015. Ils ont lancé le même cri de détresse quand la violence de la mort leur atteint et tombent au même endroit près de l'autre aile du stade opposée à celle contigu à la route qui mène au village.
Ils sont tous les deux approchés par terre par leur grand Frère le professeur Saïd Soulé, qui, le pauvre, pour Bayzi, il n'a pas pu se maîtriser, voyant la triste série se répéter. Il les amènera lui même à l'hôpital pour constater le décès de chacun d'eux.
En 2013 comme en cette année 2015, il y a la présence aux Comores d'Amir Soulé, leur frère à tous les deux,qui vit il y a quelques temps en France .
D'autres similitudes pourraient se révéler dans cette triste histoire.
Ils étaient tous les deux adorables et souriants ; impossible de leur mettre en colère ; sociables et très attachants.
Paix à vos propres âmes et à ceux des bons jeunes musulmans comme vous mes neveux et amis Antoy Soulé (Sempé) et Bayzi Assoumani. Le Paradis des bons est pour vous inshallah !
Condoléances attristées pour tout le village, toute la famille et les amis ; une pensée particulière à Daidine, Abida, Msaidié, Zainaba, Souvenirs et colonel.
Nous sommes venus sur terre sans le savoir et nous partirons vers le ciel sans le vouloir.
* "Tchale-Tchale" est un sobriquet attribué au village de Salimani Hambou par les localités voisines.
Par Said Mze Dafine
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.