Aux Comores, un juge d'instruction "Rachad Mchagama" a condamné cinq personnes à mort, sans preuve et sans mobile. Les accu...
Aux Comores, un juge d'instruction "Rachad Mchagama" a condamné cinq personnes à mort, sans preuve et sans mobile.
Les accusations faites contre les accusés reposent " UNIQUEMENT et SEULEMENT sur des déclarations verbales. c'est la Cour d'assises qui le confirme.
EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DE LA COUR D'ASSISES DES COMORES.
COUR D'APPEL DE MORONI : arrêt n° 03/12 du 02 novembre 2012 rendu par la Cour d'Assises des Comores statuant en matière criminelle et en dernier ressort; (voir ci-joint l’intégralité de l'arrêt n° 03/12 du 02/11/ 2012. cinq pages).
Terrible ! Quand en lisant l'arrêt n° 03/12 du 02 novembre 2012 rendu par la Cour d'Assises des Comores statuant en matière criminelle et en dernier ressort, la Cour confirme qu'au cour des débats à l’audience, il parait manifestement que les accusés avaient été victimes, d'une certaine pression de part et d'autre afin de les faire avouer les faits qu'ils n'auraient pas commis;
Terrible ! Quand la Cour d'assises confirme que : "compte tenu des motifs susvisés et parce que les accusations faites contre les accusés reposent Uniquement et seulement sur des déclarations verbales, qu'aucune expertise ou travail scientifique capable de prouver la certitude des faits et de ce qui s'est passé n'a pas été faite ou réalisé, que de tout cela des zones d'ombre sont très nombreuses créant ainsi le doute ".
Bon-sang ! ça nous laisse bouche bée ! Quand la Cour d'assises confirme dans son arrêt n° 03/12 du 02 novembre 2012 que le juge d'instruction se déplaçait à des heures tardives, sans l'assistance d'un greffier et à l'insu du parquet de la République à la maison d'arrêt où se trouvaient les accusés en détention préventive et à leurs domiciles pour faire pressions à leurs épouses de convaincre leurs maris d'avouer les faits qui leurs sont reprochés.
Enfin c'est vraiment Terrible, quand la Cour d'assises confirme que : " tout au long de l’enquête et débats à l’audience, il n'y a pas de vrai mobile pouvant justifier et pousser les accusés à commettre le crime ".
Je pense sérieusement que lorsque les accusations faites contre les accusés reposent " UNIQUEMENT et SEULEMENT sur des déclarations verbales, on doit s’intéresser d'abord à deux personnes clés : qui est le fameux Juge Rachadi Mchangama qui, sans preuve et sans mobile a condamné à mort : Mohamed Mahamoud alias Babylone; Youssouf Athoumani alias Batterie ; Maoulida Mlindé alias Ousso Oudou ; Salimou Mohamed Amiri et Faouzia Miradji ?
Rappelons qu'aux Comores la peine de mort existe. alors oui, qui est vraiment ce juge sans cœur qui condamne à mort, sans preuve et sans mobile ?
En suite, puisque les accusations faites contre les accusés reposent " UNIQUEMENT et SEULEMENT sur des déclarations verbales, et que, la Cour d'assises confirme qu'au niveau de l'enquête préliminaire, la gendarmerie a été dessaisie de la procédure au profit de la police sans trace ni justification, voyons donc, qui, de cette police ses déclarations verbales ont été retenues pour condamner à mort ces 5 personnes? Ici encore, on trouve un insoutenable directeur national de la sûreté du territoire (DNST), Abou Achrafi Ali Bacar.
Cela me laisse sans voix ! Sans commentaire s'il vous plait. Qui ne connait pas Abou Achrafi Ali Bacar ?
Mrimdu
Les accusations faites contre les accusés reposent " UNIQUEMENT et SEULEMENT sur des déclarations verbales. c'est la Cour d'assises qui le confirme.
EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DE LA COUR D'ASSISES DES COMORES.
COUR D'APPEL DE MORONI : arrêt n° 03/12 du 02 novembre 2012 rendu par la Cour d'Assises des Comores statuant en matière criminelle et en dernier ressort; (voir ci-joint l’intégralité de l'arrêt n° 03/12 du 02/11/ 2012. cinq pages).
Terrible ! Quand en lisant l'arrêt n° 03/12 du 02 novembre 2012 rendu par la Cour d'Assises des Comores statuant en matière criminelle et en dernier ressort, la Cour confirme qu'au cour des débats à l’audience, il parait manifestement que les accusés avaient été victimes, d'une certaine pression de part et d'autre afin de les faire avouer les faits qu'ils n'auraient pas commis;
Terrible ! Quand la Cour d'assises confirme que : "compte tenu des motifs susvisés et parce que les accusations faites contre les accusés reposent Uniquement et seulement sur des déclarations verbales, qu'aucune expertise ou travail scientifique capable de prouver la certitude des faits et de ce qui s'est passé n'a pas été faite ou réalisé, que de tout cela des zones d'ombre sont très nombreuses créant ainsi le doute ".
Bon-sang ! ça nous laisse bouche bée ! Quand la Cour d'assises confirme dans son arrêt n° 03/12 du 02 novembre 2012 que le juge d'instruction se déplaçait à des heures tardives, sans l'assistance d'un greffier et à l'insu du parquet de la République à la maison d'arrêt où se trouvaient les accusés en détention préventive et à leurs domiciles pour faire pressions à leurs épouses de convaincre leurs maris d'avouer les faits qui leurs sont reprochés.
Enfin c'est vraiment Terrible, quand la Cour d'assises confirme que : " tout au long de l’enquête et débats à l’audience, il n'y a pas de vrai mobile pouvant justifier et pousser les accusés à commettre le crime ".
Je pense sérieusement que lorsque les accusations faites contre les accusés reposent " UNIQUEMENT et SEULEMENT sur des déclarations verbales, on doit s’intéresser d'abord à deux personnes clés : qui est le fameux Juge Rachadi Mchangama qui, sans preuve et sans mobile a condamné à mort : Mohamed Mahamoud alias Babylone; Youssouf Athoumani alias Batterie ; Maoulida Mlindé alias Ousso Oudou ; Salimou Mohamed Amiri et Faouzia Miradji ?
Rappelons qu'aux Comores la peine de mort existe. alors oui, qui est vraiment ce juge sans cœur qui condamne à mort, sans preuve et sans mobile ?
En suite, puisque les accusations faites contre les accusés reposent " UNIQUEMENT et SEULEMENT sur des déclarations verbales, et que, la Cour d'assises confirme qu'au niveau de l'enquête préliminaire, la gendarmerie a été dessaisie de la procédure au profit de la police sans trace ni justification, voyons donc, qui, de cette police ses déclarations verbales ont été retenues pour condamner à mort ces 5 personnes? Ici encore, on trouve un insoutenable directeur national de la sûreté du territoire (DNST), Abou Achrafi Ali Bacar.
Cela me laisse sans voix ! Sans commentaire s'il vous plait. Qui ne connait pas Abou Achrafi Ali Bacar ?
Mrimdu